7. L'Ordre chronologique de L'ILLUMINATE

Tout d'abord, bien que nous croyons qu'il soit possible qu'il y ait plus de quatre (4) INTERNATIONALES ILLUMINISTES à travers le monde, toute la force monétaire de l'ILLUMINATE réside au États-Unis et en Angleterre, bien que des bases riches sont assises en Asie comme à Hong Kong et Tokyo. C'est pourquoi le président Ulysse S. Grant pouvait déclarer en 1872 « Notre grande République est destinée à servir de guide à toutes les autres... Notre Créateur prépare le monde à devenir en temps opportun une grande nation qui ne parlera qu'une langue et où les armées et les flottes ne seront plus nécessaires ». En 1941, devant le Congrès, le F* Franklin D. Roosevelt réaffirmait, avec plus d'autorité, le programme de Grant : « Nous devons être le Grand Arsenal de la Démocratie : c'est un problème aussi urgent que la guerre elle-même ». Et plus récemment, en 1992, lors de la Guerre du Golfe, le président Carter déclarait en parlant de la Multiforce militaire appuyé par la puissante technologie américaine en grande partie « Ce nouvel ordre ... » Ces mêmes mots que l'on retrouve sur le dollar américain et qui y ont été placés par les pères Franc-Maçons de la révolution américaine en 1776.

 

Quant aux loges Franc-Maçonniques de la SYNARCHIE, on retrouve dès 1817 le terme « gouvernement républicain » dans les loges slaves qui préparent la révolution russe. D'ailleurs le Nihilisme[95] est la branche russe de l'Alliance républicaine Universelle dont le Siège est à New- York et le fondateur le révolutionnaire italien Mazzini[96]grand ami de Albert Pike. Albert Pike, né à Boston en 1809, mort à Washington en 1891, était un théurgiste luciférien; il avait d'abord exercé son activité sur le rite écossais, dont il faisait partie comme Souverain Grand Commandeur du Suprême Conseil de Charlestown. Tant à Saint-Yves d'Alveydre écrit en 1890 « les États-Unis d'Europe sont-ils ce desiratum? Pour les américains : Oui. Pour les Européens : Non P 111».

 

Cette indécision Franc-Maçonnique entre The Round Table et la SYNARCHIE démontre un contraste entre les différentes Loges mères. Aussi les Grands Argentiers prirent-ils leurs distances face à la SYNARCHIE, auteur de la révolution française. Aussi Fabre d'Olivet, ami de Saint-Yves d'Alveydre, déclarait en 1824 :« Nous sommes obligés de constater, malgré toutes les dénégations, que les fameux financiers qui mènent le monde, ne font que mettre en œuvre, dans leur intérêt bien sûr, les théories des sociétés secrètes sises de part et d'autres de l'océan. Particulièrement, celles qui ont été mises en forme par le grand scoliaste de la Synarchie ésotérique Saint-Yves d'Alveydre P 47 ». De telle sorte que Saint-Yves d'Alveydre s'appliqua à renforcer les lignes directrices des loges Franc-Maçonniques à l'intérieur de la SYNARCHIE, au détriment de la volonté de la Haute Finance. De cette façon, il déclare : « Les plans synarchiques dans leurs expressions primitives, sont antérieurs à la conjuration des financiers qui mènent le monde et ils demeurent adaptés avec souplesse aux époques et aux événements en dépit des batailles sournoises, souvent féroces, que se livrent sur le terrains nationaux et internationaux les dits financiers faisant figure d'exécuteurs temporels d'un impérialisme infernal qui les dépasse dans le temps et en profondeur P 180 ».

 

Un désaccord important entre l'ESTABLISHMENT et les loges Francs-Maçonniques composant la SYNARCHIE devant dérouter les Banquiers Internationaux, aussitôt le processus de la deuxième guerre mondial engagé.

 

Nous avons appris comment l'ILLUMINATE s'est appropriée les richesses planétaires de notre monde. Maintenant, voyons comment elle en a disposé à travers des faits historiques et idéologiques. Dans ce contexte, on l'aura deviné, les première et deuxième guerres mondiales, la Société des Nations, l'État d'Israël, la décolonisation étaient des étapes planifiées vers le processus d'un Gouvernement Mondial.

a. La Guerre 1914-1918

Thomas Woodrow Wilson, en 1912, à titre de vingt-huitième président des Etats-Unis, négocia le prix du pouvoir. C'est ainsi que The Round Table contrôlé par Rothschild et dont les intérêts aux États-Unis furent représentés par Morgan et Baruch firent signer à Wilson en 1912 au siège du Parti Démocrate l'obligation d'intervenir dans la Grande Guerre (1914-1918), la création d'une Banque centrale et la fondation de la Société des Nations. « Ainsi, dès 1912, l'État-Major du Parti Démocrate américain, émanation de la Haute Finance Internationale, préparait l'éventualité d'une guerre en Europe que rien ne semblait indiquer. Et, dans cette perspective, il s'assurait l'obéissance servile du président Wilson aux décisions du Parti, quelles qu'elles dussent être »[97].

 

L'assassinat de L'Archiduc d'Autriche François Ferdinand et sa femme à Sarajevo en 1914, prédit dans la Revue Internationale des Sociétés Secrètes (Mrg Jouin), en 1912 par le Colonel House des « Master of Wisdom »[98], avait pour objectifs Franc-Maçonniques, la destruction de l'Autriche-Hongrie, l'élimination de la dynastie des Hohenzollern, puissance catholique. Cette condition faisait déjà partie du programme des Rose-Croix au XVIIième siècle[99], tandis que la Haute Finance à majorité juive réclama de donner la Palestine aux Juifs en temps convenable. Il s'agit du traité secret signé à Londres en 1916 par le Colonel House, lors de la mission en Allemagne dont l'avait chargé Wilson. Aux termes de ce traité, préparé par House et par Louis Brandeis de la Cour Suprême, les États-Unis s'engageaient à entrer en guerre aux côtés de l'Angleterre moyennant que, en contrepartie, l'Angleterre s'obligeât à garantir la Palestine aux Sionistes en temps opportun[100]. Comme on peut le réaliser, il y a divergence d'intérêts entre la Franc-Maçonnerie et la Haute Finance, bien qu'ils poursuivent l'anticatholicisme. Voici un extrait de Coménius tiré de « Lux in Tenebris », en l'année 1657 :

 

LA MAISON D'AUTRICHE SERA DÉTRUITE

 

Et Saint-Yves d'Alveydre écrivait en 1890[101] :

Une coalition pour écraser non seulement les Hohenzollern mais l'Allemagne? Mais les Indes seraient déjà perdues pour les Anglais!

(Jeanne d'Arc la Victorieuse page 7)

b. La Société des Nations[102]

En septembre 1916, sous l'autorité du Colonel House, environ cent cinquante professeurs, juristes, économistes, politiciens et autres parmi lesquel des membres de « The Roud Table »; Walter Lippmann, Norman Thomas, Allen Dulles qui deviendra par la suite Chef de la Central Intelligence Agency (C.I.A.), John Foster Dulles qui sera secrétaire d'État, Christian A. Herter futur ministre. Il mirent sur pied le Pacte de la Société des Nations (League of Nations Convenant) précurseur du socialisme mondial.

La Société des Nations fut essentiellement une création Franc-Maçonnique, et son premier président fut un maçon français Léon Bourgeois[103]. La SDN obligeait automatiquement le gouvernement américain à avoir une politique extérieure basée sur l'immersion des affaires étrangères, contraire à la politique d'isolationnisme des Partis dans ce temps-là. La Haute Finance Internationale finança le projet comme Schiff représentant des B'nai B'rith, Warburg, Kahn, Rockefeller et Morgan.

 

L'égalitarisme irréaliste qui obligeait les grandes nations à tracter en coulisse avec les plus petites nations fut la cause principale qui amena le gouvernement américain avec la pression du peuple à mettre fin à cet accord. Rapidement, avec le retrait des États-Unis, la S.D.N. devint un château-fort communiste. Dans le conflit entre l'Italie et l'Éthiopie, elle fut une cause apparentée à la IIe Guerre mondiale. Les sanctions économiques et financières imposées à l'Italie, lors d'une Assemblée du 11 octobre 1935, irritèrent profondément Mussolini. Pour différents motifs dont on vous a donné le plus important, la SDN fut dissoute lors d'une Assemblée tenue à Genève du 8 au 18 avril 1946, ses actifs furent transférés à l'Organisation des Nations Unies (O.N.U.). Du 10 janvier au 14 février 1946, première Assemblée générale de l'O.N.U., il est décidé à Londres;

 

  1. constitution du Conseil de Sécurité

  2. constitution du Conseil Économique et Social

Le siège social de l'Organisation des Nations Unies (O.N.U.), est à New York et le terrain où elle a son quartier général fut un don des Rockefeller. Rendu indispensable par la IIe Guerre mondiale, l'O.N.U. est financée par le peuple américain. Essentiellement, l'objectif principal poursuivi en a été dictée au XVII siècle et repris dans le Pacte Synarchique # 591[104].

 

Un ordre social économique de tous les peuples
Un ordre culturel de toutes les nations
Un ordre fédéral de tous les empires
Au sein d'une réelle Société des Nations dont la loi soit
basée justement sur les profondes réalités de la vie
culturelle du monde.

 

 

 

 

La plupart des personnes y gravitant ont de fortes tendances au socialisme totalitaire, Franc-maçonnique, cadres synarchiques; et souvent à des organisations reliées autour des principales Loges Mères. Créée prétendument pour assurer le maintien de la paix et la sécurité mondiale, l'O.N.U. se révèle au contraire comme un instrument majeur aux mains de la Haute Finance Internationale pour le triomphe du Gouvernement Mondial[105]. En ce qui concerne son fonctionnement, nous explorerons plus en détails dans le chapitre 5.

c. La Guerre (1940-1945)[106] [107]

Les causes de la seconde guerre mondiale sont profondes. Évidemment, précédent les événements en France de 1848, il y a eu émanation de sociétés secrètes Franc-maçonnique comme les loges : « Philalèthes », « Trinosophes », « Amis de la Vérité », « Aide-toi, le ciel t'aidera », « banquets réformistes » et autres; où se multipliait les clubs révolutionnaires. Mais, la plus secrète et dangereuse fut la « Charbonnerie », divisée en « Vente » superposée, en collaboration avec les Suprêmes Conseils du rite écossais dont fait partie le F* Mazzini et avec les Grands Orients. Derrière lui se trouvait le F* Kossuth et le F* Palmerston ministre de Sa Majesté britannique. Outre sa principale mission : la chute du Pape et l'unité italienne, Mazzini enflamme les éléments les plus jeunes pour la révolution Universelle. C'est ainsi qu'il fonde la « Jeune Italie », la « Jeune Allemagne », la « Jeune Europe ». Il désire une révolution européenne qui balaiera le pouvoir temporel du « Pape » et les trônes pour instaurer partout un régime de Démocratie Universelle. Voici la raison principale du fameux Convent International des Maçonneries à Strasbourg en 1847.

 

En 1848, les révolutions éclatent une à une, mais celle du 24 février à Paris donnera le coup d'envoi. Finalement, elle ne triomphera que grâce à la traîtrise du F* Odilon Barrot, ce qui amena directement au Gouvernement Provisoire les F* Arago, Ledru-Rollin, Cremieux, Marie, Garnier-Pagès, Marrast, Louis Blanc, Caussidière. Le 12 mai 1849 dans le « Globe », l'annonce du programme des Hautes Loges Franc-Maçonniques en était dévoilé ainsi :

 

Il est à craindre que les événements de l'année précédente (1848) n'aient été que la première scène d'un drame fécond en RESULTATS PLUS LARGES ET PLUS PACIFIQUES. L'échafaudage dressé par le Congrès de Vienne était si arbitraire et si artificiel, que tous les hommes d'état à opinion libérale voyaient bien qu'il ne supporterait pas le premier choc de l'Europe.

Tout le système établi par le Congrès était en dissolution et Lord Palmerston a agi sagement LORSQU'IL N'A PAS VOULU PRETER SON CONCOURS POUR OPPOSER UNE DIGUE AUX VAGUES ENVAHISSANTES.

Le plan qu'il a formé est celui D'UNE NOUVELLE CONFIGURATION DE L'EUROPE, l'érection d'un royaume Allemand vigoureux qui puisse être un MUR DE SÉPARATION ENTRE LA FRANCE ET LA RUSSIE...[108] ENFIN UN ROYAUME D'ITALIE supérieur dépendant de la maison de Savoie.

 

Il s'agissait d'une modification majeure de l'Europe. Or, dans un premier temps, il fallait substituer à la Confédération Germanique à majorité Autrichienne et catholique, un empire d'Allemagne, Allemand et protestant. Ici, je dois faire une remarque : l'Église Catholique dont la tête est centralisée oppose et combat le pouvoir temporel aux rois de la terre. Cependant, les protestants n'ont pas de pouvoir temporel qui les représentent, leur foi est purement basée sur un Royaume Céleste. Aussi à travers une nation protestante, la Franc-Maçonnerie à toutes les latitudes pour s'épanouir en force. Ils atteignirent l'objectif visé lors de la première Guerre mondiale, par la destruction de l'empire des Hohenzollern comme « Coménius » en avait prédit la chute.

 

Tandis que l'équipe de Mazzini; constituée de Pyat, Kossuth, Lemmi, Crispi et des Hautes Loges italiennes, continua leur progression anticatholiciste contre le pouvoir temporel du Pape en Italie. Si bien que en 1922, le dictateur Mussolini avec son parti fasciste prit le pouvoir après sa « marche sur Rome ». Ce qui allait constituer le Royaume d'Italie.

 

En mai 1919, le caporal Hitler de 1ère classe, décoré de la Croix de fer est désigné comme membre d'une Commission d'enquête et d'épuration contre les communistes. En septembre, il est chargé d'enquêter sur le Parti Ouvrier Allemand, fondé par le serrurier munichois Anton Drexler. Hitler en devint membre comme le capitaine Röhm, le journaliste Dietrich Eckart, Rudollf Hess, Alfred Rosenberg et Herman Göring. Le 8 septembre 1920, le parti se rebaptise National-Sozialistische Deutschen Arbeit Partei (Parti national-socialiste des Travailleurs allemands). Le 29 juillet 1921, Hitler en prend la direction. Le 10 avril 1932, avec ces 200 000 membres, Hitler se présente à la République contre le maréchal Hindenburg. Ce dernier est élu. Le 28 janvier 1933, Hindenburg nomme Hitler comme chancelier du Reich. Le 2 août 1934, Hindenburg meurt, Hitler cumula les fonctions de chancelier et chef d'État sous le nom de Führer.

En 1922, avec l'apparition du mouvement Synarchique, allait se produire dans la Loge Mère la SYNARCHIE, le retrait de trois loges inférieures en Allemagne. Elle allait rester deux groupes de loges en Allemagne : « Vieux prussiens », nationalistes, aristocratiques, militaires et anti-juives, se référant au johannisme maçonnique, aux traditions templières ROSE-CROIX de l'époque de Frédéric II le Grand; et les loges « humanitaires » se rattachant aux constitutions d'Anderson. Ici, on doit mentionner un événement historique : il y a une complète opposition entre les sociétés secrètes anglo-saxonne; et prussienne. On ignore par qui cette poussée antisémite a été provoquée, car elle a été provoquée par la Loge Mère la SYNARCHIE. Hitler choisira le modèle « Vieux prussiens » répondant à son modèle nazisme, nationaliste et antisémite, déjà fortement impliqué dans la loge « THULE », très occulte. Dans cette loge, il y avait la volonté d'imposer une INTERNATIONALE Franc-Maçonnique (exclusive du condominium anglo-saxon), de race Aryenne, car les bailleurs financiers de l'Allemagne, l'Autriche et l'Italie le permettaient. Derrière Hitler il y avait pour aiguiser le désir de voir l'Allemagne imposer cette union ou condominium, Lanz, théoricien du National-Socialisme et du racisme aryen, la fameuse société secrète le Groupe Thulé, puis les maçonneries nationalistes et anti-juives, soi-disant dissoutes, mais regroupées dans "L'Ordre National Chrétien de Frédéric le Grand [109]». Certainement, Hitler n'était pas sans savoir en tant que Franc-Maçon, le futur démembrement de l'Allemagne au profit du « Rideau de fer ». Et de la probable intervention de la Chine. Puisque, Hitler, écrit en 1928 :

 

Le rassemblement de tous les peuples européens n'évitera pas pour autant l'hégémonie américaine et que le premier rival pour cette union américaine serait d'abord la Russie d'aujourd'hui et plus encore la Chine avec plus de quatre cents millions d'hommes.

 

Hitler ne croyait pas à une Union Européenne, basée sur la pacificité, selon lui, elle devait être imposée par la SYNARCHIE, c'est-à-dire un conquérant. Ainsi, il déclare :

 

Tenter de réaliser l'Union pan-Européenne par l'Union purement formulée des peuples européens sans qu'elle ait été imposée par une puissance prédominante en Europe... cela conduirait à une entité dont toute la force et l'énergie seraient absorbées par des rivalités et des querelles intérieures comme le fut la force allemande dans la fédération allemande.

 

Par ces quelques extraits, on s'aperçoit que Hitler et son Parti étaient très au courant des objectifs Illuministes du LEADERSHIP américain en ce qui concerne l'union européenne, que nous verrons sous peu.

 

Aussi, il y avait cette conjoncture politique, la Haute Maçonnerie cherchait un homme de fer capable de contenir le communisme à l'intérieur de ses murs. Le bloc Allemagne-Autriche-Italie dès 1849, bien que temporel, ferait son œuvre en temps et lieu. Aussi dans son ouvrage « Occult Theocracy » Lady Queensborough, dit :

 

Après la guerre européenne de 1914, certaines banques, conscientes de la menace du Satanisme, rebaptisèrent le bolchévisme de crainte que le monstre ne leur échappat des mains. Elles choisirent certains hommes dont l'intégrité, le patriotisme et le courage leur donnaient confiance et, leur payant un salaire, les tinrent prêts, comme un noyau, pour se rallier à un chef au signal donné. (Tome I, page 619)

 

Également, il y a le soutien financier du Reich[110] qui pose plusieurs interrogations. Bien que Ernst von Borsig, président de l'Association de l'Industrie Métallurgique, et Grandl un industriel, Herman Aust, Fritz Thyssen s'interressèrent au partie dès le départ. Dès qu'il atteint les 200 000 adhérents au parti, s'ajoutèrent : Emil Kirdorf de la Ruhr, Georg von Schnitzler de I.G. Farben, Cuno de Navigation Hamburg-Amerika, les dirigeants de la cie assurance l'Allianz, Deutsche Bank, Commerz und Privat Bank, Dresdner Bank et autres. Aussitôt dépassés les 13 500 000 votes aux élections vinrent se joindre : Schacht ancien président de la Reichsbank, Krupp von Bohlen, Kurt von Schrœder. Malgré cela, il s'avèra que leur soutien souvent obligé était nettement insuffisant pour procurer une armée si puissante à Hitler.

 

Dès 1933, Hitler interdit la Maçonnerie, lui-même ILLUMINATE, tandis que Mussolini avaient interdit l'activité des loges. Or, il n'est plus possible d'infiltrer une loge Franc-Maçonnique anglo-saxonne pour détruire la poussée antisémite. Et, nous avons en la personne de Hitler, un caporal frustré de l'intervention des États-Unis dans la première Guerre mondiale pour des intérêts Sionistes, un nationaliste Allemand qui lutte pour une INTERNATIONALE aryenne permanente sans le (RIDEAU DE FER), ce que le LEADERSHIP AMÉRICAIN en la personne des B'nai B'rith et des autres Banquiers Internationaux lui refusent. Donc, il reste la loge « Vieux prussiens » d'un racisme aryen dont son État major et lui-même sont empreints. Il fallait rétablir l'union maçonnique; la Grande Loge Nationale de Tchécoslovaquie organisa un Convent Maçonnique International à Prague, du 8 au 31 août 1936, sous le thème : lutte contre le national-socialisme allemand opposé à l'idée de Démocratie. Le rattachement de l'Autriche au IIIième Reich, le 13 mars 1938, ne les fit pas sursauter, ce n'est que lorsque l'Allemagne rattacha les Sudètes que la Franc-Maçonnerie réagit. Mais, les liens demeurèrent coupés entre le mur (Allemagne-Autriche-Italie); et la Maçonnerie Internationale. Et la Tchécoslovaquie, se préparait à être occupée.

 

Tous ces éléments en présence ont amené à un antisémisme extraordinaire dans l'histoire de l'humanité. Il y a eu cet incident du vendredi 7 novembre 1938 à Paris : Herschell Feibel Grynszpan abattait le conseiller Ernst vom Rath, le meurtrier un jeune Juif de 17 ans. On n'a jamais pu élucider le mobile de l'attentat, le dossier a disparu. Lors de l'occupation, Grynszpan fut réclamé et mis à mort dans un camp de concentration. Le 14 novembre 1938, les derniers droits des Juifs étaient supprimés en Allemagne à cause de l'acte de Grynszpan; et la communauté juive était frappée d'une amende collective de un milliard de marks. Bien que déjà la Palestine était un foyer juif, l'Angleterre craignait une révolte des pays arabes. Aussi, il y a eu ce plan d'évasion de Kadmi-Cohen[111] avorté par un communiqué de radio en provenance d'Angleterre, qui coûta la vie à plusieurs milliers de Juifs. Le Reich, sans égard à sa politique anti-juive, donnait la possibilité d'émigration. Déjà une première vague de banquiers, de gros commerçants, de savants et d'universitaires avisés avaient commencé à émigrer. Mais, pour le Juif ordinaire, M. Tout Le Monde, lui, où pouvait-il émigrer ? Partout, on leur ferma les portes. Le gouvernement britannique ayant déjà accepté 11 000 Juifs , repousse le projet autorisant 10 000 jeunes Juifs à s'installer en Palestine. La France et la Suisse sont dans l'impossibilité économique, financière et politique d'accepter d'autres Juifs. Les États-Unis, objecta la législation américaine interdisant le droit d'émigration à toute personne n'ayant pas plus de 1000$. Les gouvernements des nations de l'époque ont une large part de responsabilité dans ce massacre. Tous ces gestes de concert nous donnent trois choix. Seul les initiés peuvent y répondre.

 

  1. La SYNARCHIE a tassé les Argentiers.

  2. Les Argentiers ont accepté de laisser périr leurs coreligionnaires pour démontrer l'importance d'avoir un état Juif, un pays Israël

  3. Une guerre spirituelle indétectable s'est glissée à l'insu des Loges Mères.

 

Personnellement, je crois qu'il s'agit d'un mélange des trois, le F* Allen Dulles fut dans le cercle des fondateurs de la Société des Nations avec son frère John Foster Dulles. Parmi les financiers étrangers qui appuyèrent la montée au pouvoir de Hitler, on retrouve la banque de J. Henry Schroder Co., dont le directeur était Allen Dulles, un des fondateurs du C.F.R. et membre de « The Round Table ». Celui-ci devint l'intermédiaire banquier entre le Parti Nazi et les Banquiers américains qui financèrent la guerre. Allen Dulles fut l'éminence grise de la Central Intelligence Agency (C.I.A.) de 1953 à 1961. Or M. David Yallop, nous assure dans son livre « Au nom de Dieu » que Licio Gelli était Grand Maître de la Loge irrégulière Propaganda 2 (P2), contrôlant l'Italie, l'Amérique centrale et l'Amérique du sud. Celui-ci organisa une filière d'évasion pour les nazis qui souhaitaient s'enfuir en Amérique du sud. Parmi ceux qui s'echappèrent, il y eut le chef de la Gestapo Klaus Barbie, connu sous le sobriquet de Boucher de Lyon. Barbie n'eut rien à payer car le prix de son voyage fut entièrement versé par la U.S. Counter Intelligence Corporation. Barbie s'appliqua à monter les « Fiancés de la mort »; son groupe commit des assassinats politiques sur demande dont celui du leader socialiste bolivien Marcela Quiroga Cruz et contribua à l'arrivée au pouvoir en Bolivie en 1980 du général Garcia Meza. Klaus Barbie employait ses connaissances du temps du nazisme en tant que « conseiller à la sécurité » du colonel Gomez, un homme qui a bien du sang bolivien sur les mains – Page 158 et 162. Donc, si les criminels de guerre furent protégés par le Council on Foreign Relations après la guerre, on doit considérer que le massacre Juif n'était pour eux que juste une conséquence. Il considérait probablement plus leur F* de la Thullé.

 

Mais, la Haute Finance laissa des plumes dans cette guerre. Dès 1930, un projet de loi porté par trois députés nazis : Strasser, Feder, Frick, prévoyait l'expropriation sans indemnités des holdings des « magnats de la banque et de la finance », des Juifs d'Europe Orientale, et la nationalisation des grandes banques, À cette époque, Hitler le fit retirer pour des raisons de financement de parti. On sait ce qui arriva à son heure. A la suite des ordonnances de 1940-1944 contre les Juifs en France, les dirigeants des grandes banques Rothschild, Lazard, Dreyfus et autres, s'étaient exilés, leurs entreprises mises sous séquestre. D'autres allaient s'apercevoir que la reconnaissance n'est pas le propre des obligés, comme : la Banca Commerciale Italiana nationalisée par le Duce en 1931 et Thyssen réfugié en Suisse en août 1939 pour s'être élevé contre la politique d'agression de Hitler : il tomba entre les mains de la Gestapo en France en 1940. Dans ces deux cas, Mussolini et Hitler ont supprimé leurs créanciers. À l'origine le bloc Allemagne-Autriche-Italie, avait été armé de façon à offrir une sérieuse résistance à l'U.R.S.S. Afin d'éviter que le monstre communiste, envahisse l'Europe et n'échappe entre les mains de la Haute Finance. Hitler comme ILLUMINATE averti des intentions de la Juiverie internationale s'opposa comme fervent nationaliste à ce court instant de gloire. Comme la suprématie de la race Aryenne l'emporta dans les loges maçonniques; et que le Paganisme fut bien rôdé entre (1918-1939). Hitler décida de former une INTERNATIONALE avec les vieux pays d'Europe qu'il envahirait un à un; et le Pacte Antikomintern. Aussitôt qu'ils virent que Hitler était en train de former une INTERNATIONALE qui pourrait devenir plus puissante que le LEADERSHIP américain, la HAUTE FINANCE s'empressa de faire des pressions sur les différents gouvernements afin de déclarer la Guerre à Hitler. D'Ailleurs, s'il n'y avait eu l'intervention du F* Franklin D. Roosevelt[112] comme fauteur de guerre, forcé par les Argentiers et les maçonniques, Hitler se serait battu un jour ou l'autre contre la Russie; et la Chine aurait terminé le tout. Bien que Roosevelt pressait Chamberlain à faire la guerre, la situation aux États-Unis était différente. En effet 80% de la population s'objectait à toute intervention armée en Europe; la proximité des élections 1940 lui aurait été fatale, s'il avait démontré de la sympathie pour une guerre. Sous le thème « Hitler bluffe », le 27 septembre 1938, le ministre des Colonies Georges Mandel (Louis Rothschild), déclarait au président du Conseil Edouard Daladier « Nous allons faire de vous un héros malgré vous. Hitler bluffe. Vous n'aurez qu'à lui résister pour vous couvrir de gloire ». Le 28 septembre, intervention de la dernière chance entre Hitler, Mussolini, Chamberlain et Daladier. Le 29 septembre, ce fut les concessions faites aux Allemands. Les concessions furent approuvées en Chambre des Députés et Communes. Mais, bientôt, un vent d'orgueil, poussé par les maçonniques s'empara des médias et de la populace. Le Premier Lord de l'Amirauté Duff Cooper donna sa démission; puis Churchill accusa Chamberlain d'avoir choisi la honte. Le major Attlee déclara que l'Angleterre et la France avaient subi à Munich la plus grande défaite diplomatique de l'histoire. Plusieurs emboîtèrent le pas comme : Hore Belisha, Antony Eden, Lord De la Warr, sir Vansittart. En France, Leon Blum dénonça la politique de Munich comme une « capitulation honteuse », « une concession déshonorante », « une trahison ». Tandis que Henri de Kérillis parla des traîtres de Munich, appuyé par Émile Buré « L'Ordre À L'œuvre ». Albert Bayet, Geneviève Tabouis poussaient à la guerre comme : Louis Lévy, Oreste Rosenfeld au Populaire, Paul lévy Aux Écoutes, Jean Fayard à Candide, Louis Joxe et Maurice Schumann à l'Agence Havas, Pierre Brossolette à l'Agence Radio, Henri Bénazet et Maurice Bourdet au Poste Parisien, Gabriel Péri et Jacques Duclos à l'Humanité, Jean-Richard Bloch à Ce Soir et plusieurs autres.

 

Durant la crise de l'automne 1938, Bullitt avait été averti qu'une guerre durerait six (6) ans, et se terminerait par un désastre complet en Europe et un triomphe du communisme. Un conflit entre l'Allemagne et la Russie affaiblirait le Reich, et les Américains interviendraient alors pour obliger l'Allemagne à capituler, mais seulement après que l'Angleterre et la France auraient déclaré la guerre. Les États-Unis avaient besoin de deux ans pour parachever leur armement, car l'Europe épuisée serait une proie facile pour l'U.R.S.S. Donc, il fallait provoquer la guerre. Le 12 janvier 1939, un rapport secret au colonel Beck disait que divers intellectuels juifs des États-Unis avaient participé à une campagne de bellicisme en vue d'activer la précipitation des U.S.A. dans la guerre. En particulier les familiers du Président Roosevelt, les financiers Baruch, Lehmann, Frankfurter, Morgenthau ayant tous participé à la révolution d'octobre 1917. Plusieurs personnages affiliés au Council on Foreign Relations, tels Ben Cohen, Rosenman, Harry Dexter White étaient du nombre.

 

Les membres du Council on Foreign Relations encerclaient le président Roosevelt et le Département d'État. Plusieurs étaient des agents soviétiques, comme Alger Hiss, haut fonctionnaire au Département d'État, conseiller de Roosevelt[113], Président du Carnegie Endowment for International Peace, condamné à cinq (5) ans de prison.

 

Le premier février 1939, les Grands Maîtres des deux grandes Obédiences françaises intervenaient de nouveau auprès de Roosevelt, la première fois fut le 24 septembre 1938 en faveur de la Tchécoslovaquie, pour lui demander la convocation d'une Conférence Internationale de tous les États intéressés par les problèmes de l'Europe centrale. Roosevelt en profita pour informer que les États-Unis ne soutiendraient plus les pays démocratiques s'ils observaient l'accord de Munich. Tandis que F* Bullitt avertissait les maçonneries françaises qu'aucun compromis entre les démocrates et l'Allemagne Hitlérienne ne devait avoir lieu.

 

À l'aube de la Seconde Guerre Mondiale, The Round Table se servit de tout son pouvoir auprès de nos gouvernements, afin que Hitler ne soit pas arrêté en Autriche, en Rhénanie et aux Sudètes. Par la suite, à grands frais, ils manipulèrent les différentes populaces vers la guerre. Ce sont les Alliés, composés en grande majorité de chrétiens protestants, baptistes, évangélistes, pencôtistes et catholiques qui versèrent leur sang, sous les ordres des Généraux Francs-Maçons, tout comme la Révolution américaine de 1776. Ce sont eux, ces chrétiens qui pour libérer M. Tout le monde Juif dans des camps de concentration, acceptèrent de ne plus revoir leurs enfants, leur femme et donnèrent leur vie, preuve d'amour ultime. Ces chrétiens revinrent désabusés par les horreurs de la guerre; certains délaissèrent la foi. Ce qui allait imposer une brèche dans les mœurs et se répercuter sur les prochaines générations. Détruire le Christianisme, tel est le but avoué de la Franc-Maçonnerie.

 

Pourtant, il devrait être conscient que l'éloignement du Christianisme signifie l'augmentation de l'antisémitisme. Le RIDEAU DE FER et le REICH, l'ont amplement prouvé. S'il y a eu de l'antisémétisme au Moyen Âge, c'est que derrière une religion, s'est trouvé un esprit antéchrist. Même les protestants étaient considérés hérétiques et mis à mort. C'est pour cette raison qu'ils ont émigré en si grand nombre comme premiers colons aux États-Unis. Lénine, Staline, Hitler étaient des Antéchrists, non seulement à cause des horreurs qu'ils ont accepté de commettre, mais parce qu'ils ont, avec la puissante machine derrière eux, grandement contribué à enlever la paix, l'amour, la tolérance, la joie, la bonté, la charité et la patience de la terre. Encourager l'esprit de Satan équivaut à accepter que le Faux Messie qui s'en vient, soit un Antéchrist. Et, il le sera, il détruira les deux tiers (2/3) du peuple Juif et espèrera changer les temps et anéantir complétement le peuple de Dieu.

d. Un foyer Juif[114]

Bien que le retour en Israël était bien implanté dans les coutumes et traditions juives, notamment, avec le « Super Flumina Babylonis » du Psaume 136; « Si je t'oublie, Jérusalem, que ma main droite se paralyse ». Ce n'est que vers la fin du XVIII siècle, causée principalement par les révolutions, les ghettos en Europe centrale et les pogroms en Russie, que la conscientisation sociale juive commença à cheminer vers un retour à la terre promise. Naturellement, quelques poètes et mouvements entretinrent la flamme du retour comme : le mouvement sioniste en 1886, Moïse Hess avec son ouvrage intitulé « Rom und Jerusalem » en 1862, réclamait le droit des Juifs de réaliser leurs aspirations nationales; Leo Pinsker avec son livre « L'Auto-Émancipation », réclamant un peuple Juif et un territoire à lui. Mais, le premier mouvement à attirer l'attention fut les « Amants de Sion » (Hovevé Zion), auquel les barons Edmond de Rothschild et Hirsch et les grands financiers israélites de l'Europe s'intéressèrent. Le mouvement parvint à implanter quelques colons Juifs d'Europe centrale[115] en Palestine. Toutefois, il y avait déjà quelques regroupements juifs, subsistant depuis les temps anciens à Jérusalem, Hébron, Safed et Tibériade.

 

Mais le vrai fondateur du Sionisme fut le journaliste et auteur dramatique juif autrichien Theodore Herzl (1860-1904). C'était un homme de la ville, actif, auteur à succès, profitant de la vie; il ne connaît pas l'Hébreu et croit en l'assimilation du judaïsme par le Christianisme. Il imagine une conversion massive des juifs et un grandiose réconciliation judéo-chrétienne.

 

Mais en 1894, comme journaliste, il est appelé à couvrir « L'Affaire Dreyfus » que Herzl suit pour la Neue Freie Press. Il est stupéfait de l'antisémitisme que cette affaire provoque. Cela lui redonne la conscience de son appartenance. En 1895, il écrit « L'État juif », et il y mentionne la nécessité pour le peuple de se faire donner une région du globe où les Juifs du monde entier puissent s'installer définitivement. Le livre a un gros succès, écrit en Allemand, il est traduit en français, en anglais et en hébreu. Dans son livre, il proposait un programme d'instauration et la création d'une Société des Juifs, pour l'organisation de l'opération, et une Compagnie Juive, au capital de 50 millions de livres sterling chargé de financer le projet. Deux endroits sont alors proposés, soit l'Argentine ou la Palestine, et l'émigration doit être organisée. Le projet rencontre l'opposition de la Haute Finance cantonné avec les « Amants de Sion » et des Juifs orthodoxes qui jugent comme blasphématoire de ne pas attendre la venue du Messie avant d'entreprendre pareil projet.

 

Cependant, avec l'appui de l'écrivain Israël Zangwill, Max Nordeau, Max Bodenheimer, il organise un Congrès à Bâle, le 27 août 1897. La réunion compte 204 délégués venus de tous les pays, de toutes langues; et deux représentants de l'Ordre des B'nai B'rith, la Franc-Maçonnerie juive. On y dévoila le but du mouvement : « L'établissement en Palestine d'un Foyer juif légalement et publiquement reconnu ».

 

Jusqu'à sa mort à Vienne, le 3 juillet 1904, il se débattra. En butte constamment avec l'opposition des autorités du judaisme et des différents partis de la doctrine, sans aucun soutien politique et aucun appui financier. Il lui fallut cinq ans pour réussir à faire enregistrer à Londres le Jewish Colonial Trust. Il ira même jusqu'à dire « C'est bien la première fois que je vois mettre en doute l'aptitude des Juifs à créer une banque ». En réalité les Banquiers Internationaux, lui ont mis les « bâtons dans les roues », ils jugeaient l'heure et le moment inapproprié pour une émigration massive en Palestine.

 

Malgré cela, un mouvement de migration de plus en plus considérable et qui ne cessait de croître s'établit en direction de la Palestine. Le plus fort du contingent était des intellectuels russes, socialisants, bien décidés à s'établir au pays de leurs ancêtres. Aussitôt se créa à Jaffa, en 1908, l'Office de Planification de l'Immigration et le Fond National Juif qui s'intéressa à l'achat des terres en Palestine. L'année suivante Tel-Aviv était fondée et l'Hébreu proclamé la langue de communication. Jusqu'en 1914, les principaux pourvoyeurs à ce fond furent les leaders juifs de Londres : Montefiore, Wolff, Rothschild, Cohen, Goldsmid et le Hilfsverein. Mais, surtout le B'nai B'rith et les Juifs des États-Unis. En août 1914, lorsque éclata la première guerre mondiale le Fonds National fut mis à l'abri à La Haye et installèrent à New York un Comité provisoire présidé par « Justice » Brandeis ». On sait que Louis Brandeis dut sa nomination à la Cour Suprême grâce à un chantage exercé sur Wilson au sujet d'une aventure extra-conjugale. Faisaient partie de ce comité Stephen Wise, conseiller personnel et influent du président Wilson; Eugène Meyer, futur président du Federal Reserve Board (Banque Centrale); Nathan Straus et le financier international Félix Frankfurter, neveu de « Justice Brandeis ». En mai 1916 l'accord secret du « traité Sykes-Picot » esquissait le partage du Levant en zones d'influence anglaise et française. La France reconnaissait à la Grande-Bretagne le protectorat sur la Palestine, par lequel les États-Unis s'engageaient à entrer en guerre aux côtés de l'Angleterre moyennant qu'en contrepartie, l'Angleterre s'obligea à garantir la Palestine aux Sionistes en temps opportun. Les Financiers fondèrent le British Palestine Committee. Le 7 février 1917 se réunirent à Londres, sir Mark Sykes, Lord Rothschild, James de Rothschild, Herbert Samuel, Haïm Weizmann, Nahum Sokolow, George Picot, Aristide Briand, président du Conseil et ministre des Affaires Étrangères de France, en faveur d'un État Juif. Le 6 avril 1917, Les États-Unis entraient en guerre. Les financiers américains prêtèrent à tous les belligérants pour pouvoir amasser le maximum de profits de cette guerre.

 

Or, le colonel House, comme Louis Brandeis, avait été imposé à Wilson par les banquiers internationaux israélites Paul et Félix Warburg, Otto H. Kahn, Louis Marburg, Henry Morgenthau, Jacob et Mortimer Schiff, Herbert Lehman, le complexe bancaire Rothschild et tous les membres pro-sionistes de « The Round Table ». En ce temps-là, le Council on Foreign Relations n'avait pas encore été fondé par le Colonel Mandell House. Le 2 novembre 1917, le cabinet britannique, publia sous forme de lettre par Lord Balfour à Lord Rothschild, cette déclaration :

 

« Le gouvernement de Sa Majesté envisage favorablement l'établissement en Palestine d'un Foyer National (National Home) pour le peuple juif, et emploiera tous ses efforts pour en faciliter la réalisation, étant clairement entendu que rien ne sera fait qui puisse porter atteinte aux droits civils et religieux des communautés non-juives existant en Palestine, ni aux droits et statuts politiques dont les Juifs jouissent dans tout autre pays... »

 

L'Israélite sir Herbert Samuel est nommé, peu de temps après, Haut Commissaire britannique de la Palestine. Il avait pour mission de planifier et d'intégrer l'immigration juive. De sorte que la population juive croisse et s'étende rapidement en Palestine pour que puisse naître un État, et plus le pays d'Israël.

 

La Conférence de San Remo, en avril 1920, confirma la Déclaration de Balfour[116]. Entre 1919 et 1939, le gouvernement britannique mettra la pédale douce sur le programme d'émigration en Palestine. En effet, à la fin de 1919, une organisation pilotée par un dénommé Jabontinsky était chargée de l'auto-défense des colons; et de nombreux incidents de représailles s'étaient glissés entre les Juifs et les Palestiniens. De plus, il y avait l'inquiétude que Brenden Bracken[117] signifia à Churchill et Chamberlain. La dictature de Mussolini et la montée du nazisme Hitlérien qui militait en faveur du nationalisme panarabe. Et comme, il était de plus en plus évident qu'une deuxième guerre mondiale se dessinait, il ne fallait pas entraîner les nations arabes à ce joindre au « Pacte Antikomintern ». Les Juifs échappés aux camps de la mort en Allemagne; et la menace du communiste, craint chez eux comme le nazisme, donnèrent le ton vers une vaste campagne d'émigration en Palestine. Le 14 février 1947, le gouvernement britannique soumettait le problème juif à l'O.N.U. Tandis que les Juifs décidèrent le 12 mai 1948 de proclamer l'État d'Israël.

 

Bien que Truman, s'opposa à un État juif, ni lui, ni les autres présidents ne purent résister aux pressions du lobby juif, dont la puissance financière décidait de leur élection à la Maison Blanche. Ben Gourion ayant proclamé la création de l'État d'Israël le 14 mai 1948 à minuit, la Maison Blanche annonçait qu'elle le reconnaissait officiellement, onze minutes plus tard. Depuis le 14 mai 1948, le gouvernement américain n'a jamais cessé de financer, d'aider et de ravitailler Israël. C'est dire à voix haute par l'attitude des financiers, que l'U.R.S.S. était une immense duperie; et que le sort du monde est décidé par eux et les INTERNATIONALES maçonniques. Sinon, pourquoi avoir risqué que des centaines de millions d'arabes enjambent un communisme qui aurait été désastreux pour le monde libre comme sous Hitler. Les soviétiques procuraient la même crainte tout au moins durant la guerre froide?

 

Citons comme exemple, même si je ne veux pas déborder de l'année 1948. En 1967, l'État d'Israël demanda du secours. Ce jeune État d'à peine 19 ans et dont les exportations agricoles arrivent à peine à soutenir ses activités militaires, doit avoir recours à une puissance qui le soutient. Le 9 août 1967, à Tel- Aviv, soixante-dix milliardaires, sont venus de quatorze (14) pays différents pour répondre à l'appel de M. Levi Eishkol. Quelqu'un se serait exclamé : « je n'arrive même pas à imaginer combien de milliards représentent les gens qui sont dans cette salle ». La délégation américaine comptait quarante (40) membres, dont je tairai les noms. Les sujets traités, au dire de certains, débordèrent largement le cadre économique et financier, mais cela demeure secret. Cependant, en avril 1968 à Jérusalem, lors d'une deuxième réunion avec les Bilderbergers cette fois, M. Charles Clore commençait sa réunion avec les sujets suivants :

 

« La question de l'or; le soutien aux pays opposés à l'étalon-or; les attaques contre la France et de Gaule; la mise au pas de la Pologne et de la Tchécoslovaquie; les campagnes contre les livraisons d'armes aux pays arabes; les ouvertures de crédits très larges à Israël pour s'armer, au besoin au-dessous des prix mondiaux; la réorganisation mondiale de la puissance d'Israël grâce à des crédits très importants; tout cela forme l'ensemble que nous devons mettre au point, et nous sommes réunis à cette unique fin »

 

Je suis persuadé qu'un tel appel aurait été lancé par n'importe quels autres pays, mis à part les États-Unis; et il n'aurait pas eu autant d'attention de la Diaspora. Ce qui frappe dans leurs attitudes, c'est qu'il est certain que « la Haute Finance poursuit le rêve messianique de l'hégémonie d'Israël ». Comme chrétien, nous dirons que le but désiré est identique aux prophéties. Nous souhaitons ardemment que le peuple Juif reconstruise l'ancien temple de Salomon. Certainement, Dieu réalisera ce qu'il a attesté par ses prophètes. Cependant, celui que vous allez porter au pouvoir fera cesser le sacrifice perpétuel et cherchera à tous vous anéantir; seul, le tiers survivra car il se tournera vers Jésus le Vrai Messie et n'entrera point dans Jérusalem, ni dans les villes. Ceux de Judée fuiront dans les montagnes.

e. La Chine[118] [119]

On a peu d'information sur la Société du Grand Dragon Rouge ou The Order of the Black Diamond, sauf que les sociétés secrètes chinoises qui la composent sont inspirées par le Taoïsme et par ses tendances à un libertisme mystique pour l'individu. Elles ont un culte de la Science entendue ésotérique, il dirigent leurs adeptes à l'aide de collèges d'Initiés. Le premier dispense l'enseignement secret touchant la politique. Le second contrôle l'exécution des consignes occultes. Le troisième, le plus élevé est composé de très hauts Initiés versés dans le magnétisme, l'occultisme; il conçoit les plans politiques dont il est capable d'assurer l'exécution en mobilisant les corps de la nation sans aucune intervention visible de l'État. Son mysticisme soutenu par son isolement, son orientation, ses objectifs dans la mondialisation, ne sont connus que des très hauts initiés.

 

Toutefois, Saint Yves d'Alveydre, celui qui a transcrit le « Pacte Synarchique » pour la SYNARCHIE dans l'édition posthume de sa « Mission de l'Inde » parue en 1910, écrit :

 

« Je leur ai signalé (aux Européens) dans mes missions précédentes combien peu la Chine était une quantité négligeable dans la balance des puissances de la terre.

Deux ans avant la guerre, j'ai dit que ses armements, ses instructeurs militaires européens, son évolution lente mais certaine, après des emprunts d'État probables vers un pied de guerre appelé tôt ou tard à devenir formidable pour l'Europe.

Et ce que j'ai déjà dit s'est en partie réalisé y compris l'emprunt d'État souscrit à Londres.

Après avoir ainsi prévenu toutes nos patries de la maîtrise à la fois rationnelle et physique qu'elles avaient à prendre en considération dans la puissance de cet Empire, je continue mon œuvre dans cette mission de l'Inde en Europe et de L'Europe en Asie.

 

A cinquante ans de distance, vous verrez l'Asie renaître à l'Esprit de son antique synthèse celtique[120].

Les armes à la mains, l'Asie vous empêchera de venir la troubler dans son ordonnance de la loi du règne de Dieu et, Chine et Islam en avant, sous la conduite de vos propres instructeurs militaires, elle viendra vous imposer de mettre votre signature au bas de la promesse sociale des Abramides...

 

Entre ces deux perspectives, je ne pense pas que l'Europe pensante tôt ou tard puisse hésiter.

 

En attendant, je fais des vœux pour qu'entre la Synarchie et l'Anarchie, les politiciens essayent de trouver un moyen terme : ils trouveront que des atermoiements funestes. »

 

En lisant, ces quelques lignes, on comprend maintenant la citation de Hitler en 1928. D'ailleurs, il est officieux que l'Asie n'a plus de retard par rapport à l'Occident. Cependant, la Chine demeure impénétrable et communiste. Qui donc anime cette Chine?

 

Lorsque j'ai décrit quelques organismes qui gravitaient autour du Council on Foreign Relations, je vous ai mentionné l'INSTITUTE OF PACIFIC RELATIONS (I.P.R.) fondé en 1928. Or en 1945 l'Office of Strategic Services (O.S.S.) reconnut la reproduction mot pour mot de documents officiels « top secret ». Une perquisition à l'I.P.R., avait permis la saisie de 1800 documents soustraits aux archives secrètes de plusieurs services gouvernementaux. Affaires étrangères S.R. de l'armée et de la Marine. Parmi ces documents y figuraient, des rapports ultra secrets concernant les positions et les dispositifs des armées nationalistes chinoises de Tchiang Kaï-Chek, alors allié des Américains, informations de la plus haute importance pour les dirigeants de la Chine communiste. Les investigations d'une sous-commission sénatoriale de la Sécurité intérieure de l'État dite « commission McCarran », permirent d'identifier de nombreux communistes parmi les membres de l'I.P.R. et même des agents soviétiques comme : Laughlin Currie (C.F.R.) conseiller du président F. Roosevelt et son représentant en Chine Israël Epstein; Frederick Vanderbilt (C.F.R.); Alger Hiss (C.F.R.), Owen Lattimore (C.F.R.), Harry Dexter White (C.F.R.). Même George Catlett Marshall (C.F.R.), ex-chef d'État-Major Général de l'armée américaine pendant la II Guerre Mondiale, auteur du Plan d'aide économique à l'Europe, ex-secrétaire d'État à la Défense, prix Nobel de la Paix en 1953, fut placé sous enquête (voir Institute of Pacific Relations note de bas de page).

 

L'I.P.R., de la date de sa fondation en 1928 jusqu'à sa date de fermeture en mars 1961, fut chargé d'infiltrer à de hauts niveaux de responsabilité des cadres synarchiques ou technocrates allant dans le sens du Council on Foreign Relations dans des domaines politiques et économiques. Les pays les plus touchés par son intervention furent la Russie, la Chine, le Japon, le Pakistan et les Philippines. L'Intelligentsia sise à New York par L'Institute of Pacific Relations a sélectionné pour les postes du Département d'État concernant l'Asie des hommes selon ses vues. Le rapport sur « L'Association de Politiques Étrangères » édité à Savannah révèle que c'est la politique américaine qui a provoqué la désastreuse conquête de la Chine par le communisme et que la faute tragique de la guerre de Corée, la reconnaissance de la Chine rouge ont détruit le prestige des États-Unis. En ce sens, ce texte en dit long sur la complicité d'action entre l'ILLUMINATE et le communisme, fabriqué de toute pièce.

 

Washigton 16 Juin (Dépêche d'agence)

 

« Au cours de sa réception au National Press club M. Walter Robertson, secrétaire d'État-adjoint pour les affaires d'Extrême-Orient a également affirmé que la Mandchourie avait été le prix demandé par Staline pour entrer dans la guerre.

Cette décision, selon M. Robertson a été ratifiée par Roosevelt, Churchill et Staline à la conférence du Caire en 1943, ce qui a permis ainsi à l'U.R.S.S. de transférer, après la guerre, le contrôle de cette vaste province aux communistes chinois. Parlant ensuite de l'effondrement économique de la Chine libre, le secrétaire d'État américain a souligné le fait que le gouvernement des États-Unis avait refusé un prêt au général Tchiang Kaï Chek en affirmant que si le gouvernement américain avait agi de la même façon en Europe au lieu d'apporter une aide importante, l'Europe serait aujourd'hui communiste ».

 

Qui est-ce qui passe de l'argent au gouvernement américain? Le Syndicat. Qui est-ce qui voulait avoir la Mandchourie pour entrer en guerre à travers Staline? L'ILLUMINATE. Donc, c'est volontairement avec preuves à l'appui que la Chine est devenu communiste et sous le contrôle de la Franc-Maçonnerie. Tant à Tchiang Kaï Check, il fut initié Franc-Maçon, paraît-il dans la loge « Shangai » à San Francisco. Il a sans doute été puni de vouloir rester chinois avant d'être communo-mondialiste. Celui qu'ils choisirent fut Mao Tsé-toung, il extermina entre 25 et 26 millions de chinois, l'équivalent de la population du Canada contemporain ou de la France en 1789.

 

On soupçonne fortement l'I.P.R. d'être toujours active sous un autre pseudonyme derrière les pays communismes. Entre autres, elle continuerait son œuvre d'agence de placement dans les gouvernements communistes en dirigeant ses technocrates sortis des collèges d'initiés à de hauts postes gouvernementaux pour l'ILLUMINATE.

 

En ce qui concerne les allusions de Saint Yves D'Alveydre, sur une éventuelle intervention armée en Europe, je crois pour ma part que si Hitler avait été trop menaçant, entre autres s'il aurait réussi à gagner l'Islam à sa cause, alors la Chine serait intervenue en Europe. Mais Hitler n'a pu rallier à sa cause les pays arabes. On peut, à travers la réaction de l'Islam, comprendre que la Kabbale qui unit les Franc-Maçonneries rend et homogénise les différentes religions du monde à l'exception du Christianisme comme nous le verrons au chapitre 5.

 

Pour l'instant, je me contenterais de constater que l'Establishment avec l'armement moderne d'après-guerre a décidé de ne pas permettre d'expansion militaire à la Chine, mais de pourvoir à son épanouissement économique. Dans ce sens l'Angleterre a redonné à la Chine, le 1er juillet 1997, une force économique enviée de tous les pays. Ses politiques internes sur la nativité et le scandale du sang au prix d'atrocités limitent sa population. Celle-ci s'apprête a diminuer considérablement sa population au cours des prochaines décennies. Advenant un gouvernement mondial, celui-ci appliquera par l'Organisation des Nations Unies une politique démographique sensiblement identique vis-à-vis de la Chine et possiblement de l'Inde.

f. L'Union Européenne[121] [122]

Je dirais que l'Union Européenne est l'aboutissement de la SYNARCHIE, ou qu'elle est la SYNARCHIE. Déjà, le roi de Bohême Georges Podiebrad (1420-1471), proposait une Confédération Européenne. Puis, en 1620, le duc Scully imagina un Conseil très chrétien d'Europe ». Mais, la conception date de « Coménius », car Saint-Yves D'Alveydre reprenant les œuvres de Coménius dit : « La chute de l'Empire des Papes permettra la naissance d'une fédération européenne laïque ». On sait maintenant que le monde catholique a basculé avec la révolution française, l'Italie, la Russie et l'Empire Hohenzollern.

 

La thèse « États-Unis d'Europe » est d'origine américaine. En effet l'Establishment conçoit l'organisation interne menant au gouvernement mondial à l'image des États-Unis. Dès le départ de la SYNARCHIE, Saint Yves D'Alveydre dans la codification du Pacte Synarchique, met en doute les idées directrices venant de l'Amérique en 1890, et dit :

 

« Les États-Unis d'Europe sont-ils ce désiratum? Pour les Américains : Oui. Pour les Européens : Non. Ce serait une singulière méthode de conciliation que de proposer aux souverains cette abdication qui du reste n'avancerait pas la question. Les États-généraux d'Europe synarchiquement constitués répondent seuls au desideratum qui est posé.

La loi sociale dont ils sont la forme appartient à la révélation, au livre saint de toutes les Églises du monde comme à la Science historique pure et simple ».

 

 

Dans cette contrariété, après la guerre de 1914-1918, la Haute Finance juge à propos de former ces États-Unis d'Europe. C'est dans cet ordre d'idée que le Comte F* Coudenhove-Kalergi porte-parole de la SYNARCHIE en Europe, forme en1922 le « Mouvement Pan Européen », en 1923 « l'Union Pan-Européenne », en 1924 « La Revue Pan-Europe », en 1926, le premier Congrès de l'Union Pan-Européenne. Rapidement, il s'entoure du F* Bénès, F* Nitti, F* Paul-Henri Spaak[123], ministre belge des Affaires Étrangères de 1936 à 1947 et Premier ministre en 1947-1948; F* Aristide Briand, Président du Conseil au fameux mémorandum Pan-Européen, adressé à vingt-six gouvernements (1928). Puis, il fonde en 1930, la Fédération européenne des Parlementaires; en 1936, l'Union Jeune Europe et bien d'autres. Naturellement, l'argent n'est pas un problème. Il s'agit d'implanter dans le peuple l'idée d'une Union Européenne, à l'aide de différents mouvements qui feront leur chemin si on les soutient financièrement. Conformément à la logique de la SYNARCHIE, ils incluent dans le Plan du 9 juillet 1934, du Pacte Synarchique :

 

Article 581

Dans ce sens, l'Empire Synarchique français est voulu par nous comme le facteur primordial de l'Union Fédérative de l'Europe.

 

Article 582

L'Union européenne doit sortir tôt ou tard d'un juste équilibre et d'une conjugaison synarchique des poussées impériales : française, britannique, romaine, germanique et slave, en jeu dans l'Europe actuelle.

 

Les rouages implantés pour une Union Européenne, primordiale à un gouvernement mondial. Le mouvement enclenché devait se voir interrompu, du moins durant la guerre (1939-1945). Comme déjà en 1936, il devenait presque évident pour la SYNARCHIE que la guerre serait inévitable. Les maçonniques commencèrent à préparer leur offensive, vis-à-vis le nazisme.

 

En 1946, le F* Winston Churchill, émit le désir des « États-Unis d'Europe », évidemment poussé par l'ESTABLISHMENT. En 1948, l'Organisation Européenne de Coopération Économique (OECE), est crée, afin de répartir les fonds du plan Marshall d'aide américaine à la reconstruction de l'Europe. Certes George Catlett Marshall était membre du Council on Foreign Relations. Quoi de mieux pour administrer ce fonds, que de commencer à créer des bases d'entente entre les pays « libres », aboutissant bien sûr sur une organisation plus solide. Arriva Robert Schuman, Ministre français des Affaires étrangères, faisant partie du Bilderberg Group, le 9 mai 1950; il proposa la mise en commun des ressources de charbon et d'acier; puis il s'exclame :

 

 

L'Europe ne se fera pas d'un coup, ni dans une construction d'ensemble. Elle se fera par des réalisations concrètes, créant d'abord une solidarité de fait. Le rassemblement des nations européennes exige que l'opposition séculaire de la France et de l'Allemagne soit éliminée.

 

Parmi les cinq pères fondateurs de la Communauté Économique du Charbon et de l'Acier; trois hommes sont certains d'être reconnus comme membres de la SYNARCHIE : Robert Schuman, Paul-Henri Spaak, Jean Monnet, directeur de l'Anglo-Canadian Telephone de l'Automatic Electric Co. Il fut président de la première organisation commune : la Haute autorité de la CECA de 1952 à 1955. Naturellement, il y a eu infiltration des cadres synarchiques. Le 25 mars 1957, le Traité de Rome crée la Communauté Économique Européenne (Marché commun) ainsi que la Communauté Européenne de l'énergie Atomique (EURATOM). Six pays en sont signataires : Allemagne, Belgique, France, Italie, Luxemboug et les Pays-Bas. Le 1er janvier 1973, vient s'ajouter le Danemark, le Royaume-Uni et l'Irlande. Le 13 mars 1979, pour assurer une stabilité monétaire aux monnaies européennes. L'Écu (European Currency Unit) est né. Quelle coincidence, l'ancien empire romain avait une monnaie identique, l'Écu. Voyez comment les prophéties prennent du sens. Le 1er janvier 1981, s'additionne la Grèce. En janvier 1986, elle s'accroît avec l'Espagne et le Portugal. Le traité sur l'Union Européenne était signé à Maastricht, le 7 février 1992. Puis l'Union Européenne croît de nouveau le 1er janvier 1995 avec l'Autriche, la Finlande et la Suède. L'Union Européenne au 1er janvier 2005, était composée de 27 États membres.

 

 

 

 

entrée dans l'UE eb...   surface km²populationcapitale
1958BBelgique30 50010 292 000Bruxelles
1958DAllemagne357 05082 360 000Berlin
1958FFrance547 02659 343 000Paris
1958IItalie301 22558 018 000Rome
1958LLuxembourg2 586447 000Luxembourg
1958NLPays-Bas34 00016 101 000Amsterdam
1973DKDanemark43 0705 367 000Copenhague
1973GBRoyaume-Uni244 04660 075 000Londres
1973IRLIrlande70 2803 873 000Dublin
1981GRGrèce131 94410 596 000Athènes
1986EEspagne504 78240 428 000Madrid
1986PPortugal92 08010 303 000Lisbonne
1995AAutriche83 8508 140 000Vienne
1995FINFinlande337 0105 195 000Helsinki
1995SSuède449 9608 910 000Stockholm
2004BGBulgarie110 9938 107 000Sofia
2004CYChypre9 251677 000Nicosie
2004CZTchéquie78 86410 274 000Prague
2004ESTEstonie45 2271 361 000Tallinn
2004HHongrie93 0309 973 000Budapest
2004LTLituanie65 3013 681 000Vilnius
2004LVLettonie64 5002 351 000Riga
2004MMalte316384 000La Valette
2004PLPologne312 68538 629 000Varsovie
2004RORoumanie238 39122 390 000Bucarest
2004SKSlovaquie49 0355 403 000Bratislava
2004SLOSlovénie20 2511 995 000Ljubljana

 

Et ceux qui restent....

entrée dans l'UE eb...   surface km²populationcapitale
200?TRTurquie779 45271 200 000Ankara
?ALAlbanie28 4783 100 000Tirana
?BYBelarus207 6009 900 000Minsk
?BABosnie-Herzégovine51 1293 900 000Sarajevo
?HRCroatie56 5384 300 000Zagreb
?ISIslande103 033300 000Reykjavik
?MKMacédoine25 7132 100 000Skopje
?MDMoldavie33 7004 300 000Chisinau
?NNorvège323 8774 600 000Oslo
?CHSuisse41 2887 300 000Berne
?UAUkraine603 70047 800 000Kiev
?YUYougoslavie99 58010 700 000Belgrade
   1 574 63698 300 000 

Informations détaillées sur l'élargissement

En 1995, la population totale est 370,7 millions, soit 40% de plus que les États-Unis; et 3 241 800 km carrés, soit trois fois moins que les États-Unis. Il y a 11 langues officielles.

 

De façon volontaire, je ne ferai qu'un survol rudimentaire de son mode de fonctionnement. Afin que le lecteur puisse voir son intégration, délibérément, j'ai statué l'année 1995. En 1995 son fonctionnement est relativement aisé, le Conseil européen est composé des chefs d'État et de Gouvernements des pays de l'Union Européenne et du président de la Commission européenne. Le Conseil des ministres est composé de représentants de chaque État membre, habilités à engager le Gouvernement de ce pays. La composition change en fonction de l'ordre du jour. Si on parle d'agriculture, ce sera avec des ministres de l'agriculture; si on parle finance, ce sera avec des ministres des finances; et ainsi de suite. La difficulté de l'Union Européenne n'a jamais résidé en ses hommes politiques, car ils sont pratiquement tous directement ou indirectement liés à la SYNARCHIE; sinon à L'ESTABLISHMENT ou au BILDERBERG GROUP, mais dans l'adhésion des populations. Maintenant qu'ils l'ont eu, ils sont seuls à décider des destinées de l'Union Européenne. Le siège social se trouve à Bruxelles. Le parlement européen est élu par les citoyens européens pour un mandat de 5 ans. Le parlement compte 626 députés. Lorsque le parlement siège à Strasbourg, ils examinent les propositions, les directives et les règlements européens qu'ils acceptent, modifient ou refusent.

Autres organismes

La commission européenne a vingt (20) Commissaires qui la composent. Elle est chargée de proposer des projets communs et veille, après décision du Conseil de l'Union européenne, à leur exécution.

 

La Cour de Justice européenne est formée de 15 juges, assistés d'avocats généraux, nommés pour six (6) ans d'un commun accord des Gouvernements. Cela revient à dire, fait comme on te dit, sinon ...

 

La Cour des comptes européenne est composée de 15 membres, nommés pour six (6) ans, par décision unanime du Conseil de l'Union et après consultation du Parlement européen. Mes commentaires sont identiques à la Cour de Justice européenne. La Cour des comptes contrôle la légalité et la régularité des recettes et des dépenses communautaires.

Les organes consultatifs

Le Comité Économique et Social (CES) est composé de 222 membres représentant les travailleurs, les entreprises, les artisans, les familles et les consommateurs de chaque pays de l'Union. Là-dedans, il y a des gens honnêtes avec des points de vue différents et des cadres synarchiques avec un point de vue identique qui par leur charisme, leur personnalité vont diviser les membres. D'autant plus que les groupes sélectionnés sont en opposition naturelle. Le Comité Économique et Social, est consulté avant l'adoption d'un grand nombre de décisions. Cela veut dire que si les Technocrates font bien leurs ouvrages, la majorité sera en faveur de la décision de la SYNARCHIE, dans le cas contraire, ils sont juste consultés.

 

Le Comité des Régions est nommés pour six (6) ans avec 222 représentants des communes, des départements et des régions d'Europe, ils sont consultés par le Conseil de l'Union ou la Commission Européenne, dans tous les domaines touchant les intérêts régionaux. Même opinion que le Comité économique.

Les organes financiers

La Banque européenne d'investissement (BEI) est composée des États membres de l'Union européenne. La BEI a pour mission de soutenir un développement équilibré de l'Union en finançant à long terme des projets, comme le développement des réseaux transeuropéens de transports et de télécommunications.

 

L'Institut monétaire Européen (IME) et la future Banque centrale européenne En 1999, un système européen de banques centrales (SEBC) et une Banque centrale européenne (BCE) seront chargés d'émettre et de gérer la monnaie unique européenne : l'euro. Cette dernière passation a été réglée en février 2002. Située à Francfort, cette institution succède à l'Institut monétaire européen (IME) et mène en toute indépendance la politique monétaire de l'Union Européenne. Elle a pour mission de combattre l'inflation, veiller à la stabilité des prix, gérer l'euro ainsi que la masse monétaire, conduire les opérations de change, détenir et gérer les réserves officielles de change des Etats membres et assurer le bon fonctionnement des systèmes de paiement.

 

Il est certain que les « États-Unis d'Europe », autrefois appelés par l'ILLUMINATE, maintenant sous la SYNARCHIE, l'Union Européenne, se devaient d'avoir une Banque centrale. Dans le sein de l'Union Européenne se cache un ordinateur central appelé la bête, qui enregistre les naissances, existant depuis 1960 à Bruxelles. La bête étant l'Antichrist, ne pas confondre avec l'appelation de leur ordinateur occulte; elle fera que petits et grands reçussent une marque. De plus, nous verrons dans le chapitre 5, comment puissante est la Bête. La bête sortant d'un onzième pays prendra le contrôle du gouvernement mondial. La musique de « l'Ode à la joie », prélude du 4ième mouvement de la IXième symphonie du F* Ludwig van Beethoven est une œuvre purement franc-maçonnique.

g. La Décolonisation[124] [125]

La colonisation d'un peuple débutait par l'apport religieux. L'Angleterre, la France, la Belgique, les États-Unis, la Hollande, et divers autres pays, commencèrent de cette façon, dès l'arrivée dans les nouveaux territoires. Aussitôt faite cette assimilation dans les échanges coutumiers entre le bien et le mal, le convenable et l'inconvenant. Les peuples arrivaient à commercer entre eux. En fait, l'étape de l'acceptation de la chrétienté était primordiale, car la connaissance du langage, des mœurs et des acceptations sociales, déterminait la future étape dans la colonisation. Tous ces échanges de connaissances étaient cruciaux dans l'apprentissage et l'intégration d'un mode de vie.

 

Ce stage en cours ou dépassé, commençait la levée d'économie, l'exploitation des richesses naturelles, la construction d'infrastructures et la formation de classes distinctes parmi les colonisés, toujours en conservant la bonne entente dans le domaine du possible. Mais au départ, il y avait le désir d'apporter ou de donner le meilleur des deux civilisations. De manière grossière, j'ai décrit le colonialisme. Manifestement, dans certain cas, cela s'est ensuivi d'échec, comme lorsqu'on songe aux Indiens d'Amérique.

 

Les colonies, dans les années d'après guerre, connaissaient une croissance. C'est pourquoi, il est normal qu'une colonie devienne un pays à son tour. S'étant créé un lien naturel entre l'ancienne colonie devenue pays, la logique veut qu'il y ait continuité d'échanges commerciaux et activités économiques à l'intérieur du nouveau pays, et du pays colonisateur. Cela aurait dû être une passation normale des choses ou un juste retour.

 

Cependant, dans la majorité des cas, cela ne s'est pas passé ainsi. Les hommes d'argent virent que les colonies étaient riches et insufflèrent le terme autodétermination. Celui-ci cache un principe de gouvernement dictatorial reposant sur des sentiments de mépris de l'espèce humaine et une hypocrite cruauté. C'est sous le principe de « Libre détermination » qu'ont invoqué à l'unanimité les loges de Genève en 1920. À cette exemple en voici la pensée martiniste :

 

« Le premier degré de la souveraineté des peuples, c'est leur impuissance ou leur servitude »

(Claude de Saint-Martin, 1797)

 

L'Anticolonialisme a pour principe l'hostilité au catholicisme et à la chrétienté dans l'esprit de L'ILLUMINATE. Durant la deuxième guerre mondiale, la SYNARCHIE infiltra dans les troupes marocaines des cadres français (Tabor), dans les bataillons algériens, les tirailleurs tunisiens et sénégalais qui combattaient pour la France, l'idéalisme de « libre détermination ». Probablement toutes les révoltes d'après-guerre furent causées par la détermination des Argentiers à se procurer les richesses des colonies; et la Franc-Maçonnerie à détruire les îlots catholiques. Concrètement, il n'y a pas meilleure manière pour un peuple d'abandonner la foi[126], que des guerres et révolutions.

C'est dans cet ordre d'idée que Saint-Yves D'Alveydre écrit en1884 :

 

À travers notre civilisation dévastée, les fruits sanglants de ce fanatisme et de cette politique internationale et coloniale seront foulés au pied comme une vendange abominable.

 

Tandis que Otto Kahn, reconnu avec Schiff, Kuhn, Lœb et le syndicat rhéno-westphalien comme financier de la Révolution russe de 1917, déclare :

 

« Une richesse de la France qu'on n'apprécie pas à sa valeur c'est son grand empire colonial. Elles offrent, de même que d'autres colonies françaises, un champs d'action très avantageux ... »

Également lit-on au # 106 du Pacte Synarchique :

 

« L'ère capitaliste et coloniale est révolue pour la France. 1922 !... Laissons de côté le capitalisme. Mais l'Indochine? la Tunisie? le Maroc? la Guinée? L'Afrique noire? L'Algérie? Ces liquidations ne peuvent laisser aucun doute à des gens intelligents sur la diligente exécution de la consigne. »

 

 

Allaient suivre les colonies : Hollandaises, Belges (Congo), États-Unis, Grande-Bretagne. À ce propos, le Congrès américain affirmait, suite à la perte des colonies :

 

 

La perte de nos colonies africaines est jalonnée par les œuvres d'un Irving Brown mandaté par le C.F.R., ses patrons et complices, en compagnie de feue Madame Eleanor Roosevelt[127], soutenant là-bas les mouvements révolutionnaires au nom de l' « Universelle Intelligence »... et du coffre-fort.

 

 

La CENTRAL INTELLIGENCE AGENCY (C.I.A.) : en parler, c'est évoquer Allen Dulles (C.F.R.) qui fut son chef de 1953 à 1961, derrière lequel apparaît Irving Brown et son œuvre de LIQUIDATION DE L'AFRIQUE FRANCAISE. Cette même politique d'intégration de la C.I.A. comme satellite de l'ILLUMINATE a toujours perduré au-delà de M. Dulles.

Après les « décolonisations », les Argentiers ont recolonisé[128] avec des capitaux, sous des institutions « libres » afin de s'assurer le bénéfice de l'opération de déstabilisation. Entre autres, ils ont exploité le Sahara en commun.

 

De nos jours (1997), au Canada, n'est-ce pas une politique d'assimilation des masses chrétiennes par une immigration massive ? Ce « libre-échange », dont seuls les États-Unis bénéficient; et qui oblige à de l'immigration massive pour soutenir notre économie. Cet irrespect dans les politiques d'immigration face à la population judéo-chrétienne est soutenu légalement par la Charte des droits de l'homme. De qui est-ce l'œuvre ?

h. Le Vietnam[129]

La guerre du Vietnam fut psychologique, tant par ses horreurs que son action sur le peuple : Américain et Vietnamien. Le Président Ngo Dihn Diem, contrairement à ce que les médias de l'autre monde ont pu écrire en inexactitudes et même en calomniant dans leur campagne de salissage, ce gouvernement, résistait à la pression sino-communiste dans l'esprit et avec les forces du peuple, par surcroît en y faisant rayonner l'efficacité civique du catholicisme. Devenu colonie française en 1857, l'Indochine, riche en ressources naturelles, fut vite convoitée par les Argentiers.

 

C'est ainsi que la Haute Finance et la SYNARCHIE élaborèrent leur plan pour détruire deux nations. Évidemment, les pères de la génération de (1964-1972), malgré leur participation à la deuxième guerre mondiale revinrent en sachant qu'ils avaient participé à une guerre propre. Ceux-ci contribuèrent grandement à conserver la démocratie. Aussi, arrivèrent-ils à préserver les valeurs chrétiennes et bibliques dans leurs foyers; et à les inculquer à leurs enfants. D'ailleurs dans les années soixante, la population américaine était en faveur de la lecture de la Bible à 80 %, dans les écoles. Donc, la guerre devenait nécessaire dans l'idéologie martinisme pour éliminer une couche chrétienne devenue trop puissante et étant en opposition avec le Grand Œuvre à construire.

 

Tandis qu'au Vietnam, le président Diem résistait au communisme, tout en préservant les valeurs catholiques transmisent par la France dès 1857. Pour la SYNARCHIE et les Banquiers Internationaux, une occasion d'avancement du Gouvernement Mondial, allait se présenter. Premièrement, détruire le gouvernement de Ngo Dihn Diem et affaiblir la chrétienté aux États- Unis, par l'extermination psychologique de la Foi future des prochaines générations dûe aux effets de la guerre. Deuxièmement, contribuer à endetter le gouvernement américain en étirant en longeur le conflit. Cela en ne donnant ni l'armement, ni le budget, ni les autorisations nécessaires pour gagner cette guerre rapidement. Aussi, s'assurèrent-ils de donner d'importants contrats militaires et d'armements à L'ILLUMINATE. Par mandat de un (1) an, les jeunes gens reçurent ordre par la conscription de se battre au Vietnam; les étudiants américains dans les campus se révoltèrent. Les américains assistaient impuissants au démembrement des familles et aux déchirements douloureux. Cette situation contribuerait sérieusement à l'abandon de la Foi par les futures générations.

 

De cette façon le F* Dwight D. Eisenhower, ayant sous son gouvernement environ cent un (101) ILLUMINATE et se vantant lui-même d'en être un, poussa à des postes clés les hommes de l'Organisation. C'est ainsi qu'Eisenhower, dès octobre 1954, donne à Diem une assistance directe pour faire échec au gouvernement français. Puis, Christian Herter (CFR) (1959-4-12) remplace John Dulles comme Secrétaire d'État; Lyman Lemnitzer (CFR) (1959-7-1) devient Chef de l'Armée, puis Chairman (octobre 1960); Thomas Gates (1959-12-1) reçoit le poste de Secrétaire de la défense; George Decker (octobre 1960) ira Chef de l'Armée; David Shoup assume le poste de l'USMC; Lionel McGarr devient Commandant Military Assistance Group-Vietnam. En octobre 1960, Kennedy élu Président des États-Unis a comme Secrétaire d'État Dean Rusk (CFR), Secrétaire de la Défense Robert McNamara (CFR), conseiller à la Sécurité Nationale McGeorge Bundy CFR). Ce fut Robert McNamara qui purgea l'armée des généraux américains patriotes, par sucroît, il était zélateur du culte de « l'Intelligence Universelle », leur religion. Allen Dulles, Chef de la C.I.A., servait à alimenter en informations souvent biaisées l'Administration Kennedy; puis sous la proposition de ces conseillers : Rusk, McNamara et Bundy, Kennedy (CFR) entama des négociations tendues avec l'Administration Diem au Vietnam.

Certainement, John F. Kennedy fit partie du Council on Foreign Relations, mais comme Dynastie, il n'était pas l'esclave des Banquiers Internationaux. Aussi, pouvait-il compter sur ses propres capitaux pour entamer un second mandat à la présidence. D'autres nominations eurent lieu sous son mandat; Earl Wheeler et Maxwell Taylor (1962-10-1) devinrent respectivement Chef de l'armée et Chairman à la place de George Decker et Lyman Lemnitzer; David Mc Donald (août 1963) prit le poste de Chef of Naval Operations. Indéniablement, on s'appliqua au Council on Foreign Relations à rendre les négociations difficiles entre les deux pays. Entre temps, il y avait eu les missiles d'octobre 1962 à Cuba. Kennedy avait court-circuité l'ILLUMINATE dans son plan de duperie par la menace atomique, en ne laissant pas installer des missiles à Cuba. Évidemment, la gestion de l'armement par l'O.N.U. devait prendre la tournure d'un échec. Par surcroît Kennedy refusa de précipiter les États-Unis en guerre. Puisqu'en septembre 1963, malgré une situation devenue, tendue, artificiellement, Kennedy abaissa le rôle de l'armée américaine à être qu'un soutien ou une aide au Vietnam. Comme cette situation déplaisait à l'ILLUMINATE et pouvait compromettre leur objectif, sur les conseils de ses diplomates (CFR) Kennedy accepta d'envoyer (1963-8-22) Henry Cabot-Lodge (CFR) pour remettre le Vietnam en meilleure posture. Lui et la C.I.A., préparèrent le coup d'État. Le régime de Diem tomba sous leur œuvre commune. Diem et son frère furent assassinés le 01 novembre 1963; le 22 novembre 1963 John F. Kennedy était abattu.

 

John F. Kennedy s'apprêtait comme Président des États-Unis à effectuer un ménage et un balayage en profondeur. On croit que cette Dynastie fut éjectée de l'ILLUMINATE; et c'est pour cela que JAMAIS, un Kennedy ne remontera sur le trône.

 

Saïgon 10 septembre 1963

Selon l'Agence Associated Press, M. Dan Duc Koi, directeur général adjoint de l'Information, ancien consul général à Bangkok, ainsi que d'autres fonctionnaires auraient disparu au cours d'une « purge » entreprise à la suite des accusations portées contre la C.I.A. d'avoir formé un complot pour renverser le gouvernement Diem.

(Le Figaro 11 septembre 1963)

 

 

Lyndon B. Johnson, Vice-Président devenu président le jour du décès de son prédécesseur, ira de l'avant avec les avis du Council on Foreign Relations jusqu'à la déclaration de la guerre. Dans ce sens, il est intéressant de mettre en lumière cet article de journal. Dans Le Figaro du 5 janvier 1966, un long article de Walter Lippman devint significatif. Walter Lippman « Bilderberger » (1957), journaliste de gauche très influent, mais surtout membre de « The Establishment » constatant l'indécision de Johnson entre la négociation ou l'offensive au Vietnam écrit :

« Tandis que les avions prendront l'air, que les troupes iront de l'avant et que le Congrès votera les Crédits, le Président découvrira en effet que la confiance dans son gouvernement SE TROUVERA PROFONDEMENT ÉBRANLÉE, À MOINS QU'IL N'AIT PRÉCISÉ SES CONDITIONS DE PAIX.

...ses grandes réalisations à l'intérieur des États-Unis sont menacées par son échec à faire la paix au Vietnam. Il est sur le point de lancer son pays dans une GRANDE GUERRE qui durera des années sans même apporter l'espoir d'une solution rationnelle.

Nos activités au Vietnam ont amené l'U.R.S.S. à s'opposer à nous et, pour peu que nous gravissions suffisamment d'échelons, elles le conduiront au conflit ouvert sous une forme ou sous une autre. »

 

 

En lisant entre les lignes, cela revient à dire à Johnson, va à la guerre, mais ne dépasse pas les limites déterminées dans le conflit. Une guerre longue, sans espoir d'une solution rationnelle.

 

Richard Milhous Nixon a mis un terme final à la guerre du Vietnam à la fin 1973. Début 1974, il succombait au scandale du Watergate, il fut le premier Président Américain à démissionner dans le déshonneur. Cependant, par son engagement à réclamer l'inconvertibilité or en 1971, même s'il était en juxtaposition avec la politique du « BILDERBERG GROUP », il a évité aux U.S.A., la faillite. Le mondialisme remis à plus tard, il a pu donner un répit à la chrétienté. Ce geste de mettre fin à la boucherie du Vietnam, fardeau que les familles et la jeunesse américaine suportaient, lui a valu l'humiliation. L'ILLUMINATE aurait aimé que cette guerre dure longtemps. Son deuxième mandat entamé, il aurait pu oublier sa promesse. Probablement, par ces gestes concrès, Richard M. Nixon fut-il le plus grand Président des États-Unis d'Amérique. Évidemment, cette guerre éteinte ne pouvait pas s'allumer à nouveau. Le peuple américain se serait révolté.

i. La politique Américaine

Il serait intéressant à travers le temps d'examiner le nombre de présidents américains issus de la Franc-Maçonnerie[130] ou du Council on Foreign Relations. Autant que puisse se faire, de communiquer leur acolyte au public, du moins depuis 1945. Ce livre se voulant évangélique, nous ne dépasserons pas l'année 1974. Mais, il est bien évident que dépassé la date de 1974, la situation politique mondiale ne va pas en s'améliorant.

 

NOMDATESFRANC-MAÇONCFR OU AUTRES
George Washington1789-1797F* 
John Adams1797-1801  
Thomas Jefferson1801-1809NOTE 1 
James Madison1809-1817  
James Monroe1817-1825F* 
John Q. Adams1825-1829  
Andrew Jackson1829-1837F* 
Martin Van Buren1837-1841  
Wm H. Harrison1841  
John Tyler *1841-1845  
James K. Polk1845-1849F* 
Zachary Taylor1849-1850  
Millard Fillmore1850-1853  
Franklin Pierce1853-1857  
James Buchanan1857-1861F* 
Abraham Lincoln1861-1865NOTE 2 
Andrew Johnson *1865-1869F* 
Ulysse S. Grant1869-1877F* 
Rutherford B. Hayes1877-1881  
James A. Garfield1881F* 
Chester A. Arthur *1881-1885  
Grover Cleveland1885-1889  
Benjamin Harrison1889-1893  
Grover Cleveland1893-1897  
William McKinley1897-1901F* 
Theodore Roosevelt*1901-1909F* 
William H. Taft1901-1913F* 
Woodrow Wilson1913-1921F* 
Warren G. Harding1921-1923F* 
Calvin Coolidge *1923-1929  
Herbert Hoover1929-1933 C.F.R.
Franklin D. Roosevelt1933-1945F*C.F.R.
Harry S. Truman *1945-1953F* 
Dwight D Eisenhower1953-1961F*C.F.R.
John F. Kennedy1961-1963NOTE 3C.F.R.
Lyndon B. Johnson *1963-1969F* 
Richard M. Nixon1969-1974NOTE 4C.F.R.

 

 

NOTE 1

On n'a jamais pu faire la preuve que Thomas Jefferson était franc-maçon. Cependant, il ne croyait pas au Dieu des chrétiens. Ses croyances étaient dirigées vers un « Dieu Universel » bon. Il avait beaucoup de similitudes avec la Kabbale. D'ailleurs, Thomas Jefferson écrivait à son prédécesseur John Adams ceci[131] : « Je crois sincèrement comme vous que les établissements bancaires sont plus dangereux que les armées permanentes ».

 

NOTE 2

Abraham Lincoln a appliqué pour devenir membre de la Tyrian Lodge de Springfield, mais c'était une ruse politique pour obtenir des appuis et des votes. Il ne donna pas suite à sa demande d'adhésion. Cependant durant la guerre civile (1862-1865) beaucoup de hautes fonctions furent occupées par des francs-maçons.

 

NOTE 3

John F. Kennedy démissionna du Council on Foreign Relations.

 

NOTE 4

Richard M. Nixon, comme Président des États-Unis ne voulu pas que son nom soit associé au Council on Foreign Relations. Son nom ne figure sur aucun registre après son accès à la présidence. Certaines rumeurs affirment qu'il en démissionna en 1962. Cependant, il a maintenu dans son administration au moins soixante-dix membres du C.F.R.

 

Dès le 22 août 1973, la politique du Council on Foreign Relations est devenu la politique officielle du gouvernement américain. Cela signifie que le Council on Foreign Relations dicte la politique des U.S.A Le président élu ne peut pas leur mettre des bâtons dans les roues. L'ILLUMINATE a atteint son but, soit contrôler la monnaie des nations et diriger la politique internationale.

 

Il ne serait pas impossible que des présidents américains ne figurant pas comme membres de la franc-maçonnerie régulière, l'aient été par la franc-maçonnerie dite irrégulière. C'est à dire que par leur allégeance ancestrale à l' « Intelligence Universelle » ou par une initiation secrète dans la Haute Loge, il ait été catapulté à ce poste.

 

Il va de soi, que les conseillers de nos présidents ne proviennent pas de loge inférieure. Pour faire parti du Council on Foreign Relations ou ses satellites, l'initié provient de Haute Loge et détient un haut degré de sagesse. L'ascension spirituelle au martinisme, luciférisme ou satanisme est proportionnelle au degré de sagesse dans les Hautes Loges supérieures. Le chapitre cinquième vous expliquera avec plus de détails le système de la franc-maçonnerie.

 

De 1900 à 1974, on retrouve de Haut initiés pour conseiller nos présidents, soient ils étaient franc-maçons ou membre du Council on Foreign Relations et ses satellites. La plupart des gens que je mentionnerai sont morts à ce jour. Du fait qu'ils sont nommés dans ce livre, ne signifie pas leur orientation spirituelle. L'âme ne peut-être vue que par Dieu seul. Certains même ont fait parti politiquement de ce groupe pour accentuer les prophéties bibliques.

 

Outre les Banquiers Internationaux et les Présidents dont on a fait mention, voici les technocrates ayant fait partie de l'ILLUMINATE directement ou indirectement aux U.S.A., soit politiquement, militairement ou autres, on retrouve[132] : Nelson Aldrich, Henry P. Davidson, Benjamin Strong, Frank A. Vanderlip, A. Piatt Andrew, Cleveland H. Dodge, Edward Mandell House, Williard Straight, John Hay, Cornelius Vanderbilt, Michael Whitney, Louis Brandeis, Stephen Wise, Eugène Meyer, président de la Federal Reserve Board; Nathan Straus, Walter Lippmann, Norman Thomas, Allen Dulles, John Foster Dulles, Christian A. Herter, Tasker H. Bliss, Jerome D. Greene, Archibald Cary Coolidge, Whitney H. Shepardson, James T. Shotwell, Frank Altschul, president C.A. General American Investors Corporation; Arthur H. Dean, ambassadeur de Corée Thomas; K. Finletter, ambassadeur U.S. à l'O.T.A.N.; William C. Foster, directeur de l'U.S. Arm Control & Disarmament Agency; Averell Harriman, ambassadeur en Russie et en Grande – Bretagne; Phillip Jessup, juge à la Cour Suprême; John J. McCloy, président de la Banque Mondiale, haut commissaire en Allemagne, président du Conseil d'administration de la Chase Manhattan Bank; Adlai Stevenson, ambassadeur U.S. à l'O.N.U.; Clarence Douglas Dillon, Robert S. McNamara, président de la Banque Mondiale en 1968; Dean Rusk, George C. Marshall, Arthur Goldberg, nommé juge à la cour Suprême, Henry A. Kissinger, qui a été un agent soviétique, le gouvernement américain l'a su avant même qu'il ne parvienne à sa haute position; Israël Epstein, Frederick Vanderbilt Field, Alger Hiss, Harry Dexter White, Robert Barnett, Ralph Bunche,. Harlan Cleveland, Joseph E. Johson, Bernard Noble, Edwin O. Reischauer, William T. Stone, Summer Welles, Charles Yost, Eustace Seligman, Walter H. Wheeler, John W. Nason, Gerald F. Beal, Emile E. Soubry, Benjamin J. Buttenwieser, Joseph E. Johnson, Harold F. Linder, A. William Loos, Henry Siegbert, Andrew G. Carey, Paul G. Hoffman, Patrick M. Malin, Reinhold Niebuche, Louis Fraina, Marquis Childs, Chester Bowles, John K. Galbraith, Arthur M. Schlesinger, H. Humphrey, Jacob K. Javits, Franklin H. Little, Arthur Lason, John W. Gardner, Frank Altschul, J. Richardson Dilworth, Sol Linowitz, Thomas Watson, Donald K. David, McGeorge Bundy, David E. Bell, Robert A. Lovett, William C. Bullitt, Leo Polovsky, Dean Acheson, Edward R. Stettinius, Harry Hopkins, Charles Bohlen, George W. Ball, Gale McGee, J. William Fulbright, Thomas L. Chadbourne, Reeve Schley, Nicolas Kagan, Walt Whitman Rostow, Jerome Wiesener, E. A. Guillon, Harold Brown, Kermit Gordon, James R. Killian, Lauris Norstad, Cyrus Vance, David E. Lilienthal, Gerard Smith, Paul Nize, Llewellyn Thompson, Harold Brown, Daniel Ellsberg, J. Irwing Miller, Arthur Schlesinger Jr., Roscœ Drummond, rédacteur en chef du Christian Science Monitor; Jacob Javits, Walter Reuther, Helmut Sonnenfeldt, James Sutterlin, David Henry Propper, Boris H. Klosson. C'est bien la phrase la plus longue que j'aie vue. Ceci n'était que la pointe de l'iceberg. Il y a entre 1400 et 2500 membres au Council on Foreign Relations dépendamment des époques, éparpillés à des postes hauts placés dans la politique américaine. Cela ne compte pas ses satellites et la Central Intelligence Agency (CIA), bastion illuministe. De nos jours, il ne serait pas surprenant que la plupart des personnalités poussés de l'avant par nos médias sur les plans socio-culturels, politiques, religieux, militaires, policiers ou occupants des postes stratégiques dans les structures du système soient probablement des Illuministes. La NASA, la CIA, le FBI, l'ONU, le NATO; tous les grands réseaux d'espionnage ou organismes œuvrant pour une mondialisation sont sous le contrôle TOTAL de l'ILLUMINATE.

Que reste t-il à faire pour un gouvernement mondial

Le 11 septembre 2001 marquait la fin des États-Unis d'Amérique comme nation monopolisant l'argent mondial. Les Grands Argentiers avaient fait de lucratifs profits sur les bourses Nord Américaines à même la naïveté des Goyms, c'est-à-dire Monsieur et Madame tout le monde ne faisant pas partie des illuminaties. Ils ont considérablement abaissé les fonds de retraite, les fonds mutuels, les avoirs des investisseurs ordinaires et autres portefeuilles. La destruction du Wold Trade Center consistait à détruire les preuves et les pistes des analyses financières falsifiées pouvant expliquer le « crash des technologies en 2000 ». Bref empêcher de remonter la source de cet envoûtement des masses. Également cela marquait à grand éclat maçonnique martinisme, symboliquement, la fin de la force monétaire des Etats-Unis.

 

Bien sûr déjà « le syndicat des banquiers internationaux » et leur agence avaient commencé à déménager leurs capitaux vers la « Grande Synarchie » ou l'Union Européenne. Laissant de cette façon leur homme politique apprendre au peuple américain que désormais pour survivre aux barrières tarifaires européennes, l'Amérique du nord devait s'ajuster à une économie de guerre.

 

Le nom de Oussama Ben Laden et l'organisation de Al-Qaïda surgissent avec un impact médiatique majeur. Pourtant, des personnes à des fonctions importantes du système ont laissé trois avions dévier de leur trajectoire sans réagir. Même similitude à quatre jours de la demande d'un second mandat comme président, M. George W. Bush est en difficulté, il risque de perdre ses élections. Le 30 octobre 2004, Oussama Ben Laden surgit de nulle part avec fort impact médiatique et fait basculer les indécis à la cause de Bush.

 

Le véritable enjeu de toute cette mise en scène de l'Illuminate est de créer une INTERNATIONALE PAN-ARABE, seule partie du monde qu'ils ne contrôlent pas. Il se partage le pouvoir avec le monde religieux Islamique.

 

Atténuer la rivalité entre les deux fils d'Abraham, Isaac le fils légitime, la nation juive, d'où est sorti le Messie; et Ismaël le fils illigitime de la servante, la nation arabe d'où est sorti un faux prophète Mahomet. Pourtant le Christ est clair sur son ministère et saccerdoce éternel.

 

Jésus-Christ est le même hier, aujourd'hui et éternellement.
(Hébreux 13 :8)

 

Jésus n'aura JAMAIS de remplaçant, Son saccerdoce est parfait et éternel parce qu'il est le Fils de Dieu, le Saint. Celui qui efface les péchés du monde, la Sainte victime expiatoire pour tous les péchés du monde.

 

Pour le plan satanique contrôler cette partie du monde est primordial. Ils étaient prêts à sacrifier plus de 1 milliard d'individus pour parvenir à leur objectif. L'armée des Etats-Unis devenue celle du « Nouvel Ordre Mondial » s'apprêtait en juin 2002 à envahir l'Irak. Le Pakistan fortement armé en missiles nucléaires avec une population de 250 millions principalement musulman pointa sa force nucléaire vers l'Amérique du Nord. Immédiatement, l'Inde composant 850 millions d'habitants, faisant partie du Commonwealth et de l'internationale maçonnique « Round Table » rétorqua en pointant ses missiles nucléaires sur le Pakistan. Soudain, le Pakistan retourna ses missiles nucléaires sur l'Inde. Juste en haut de l'Inde un pays populeux la Chine avec 1 milliard 300 millions de population. Les effets d'une guerre nucléaire auraient été désastreux. Selon certaine estimation on considérait à l'époque que environ 500 millions d'individus seraient morts et un milliard auraient souffert des effets des radiations. Les maîtres ténébreux de ce monde étaient prêts à sacrifier toutes ces vies et emmener à la faillite les Etats-Unis d'Amérique pour atteindre le plan du Grand Œuvre.

 

Parmi leurs désirs, celui de diminuer la population de la terre et d'affaiblir les populations chrétiennes par différents procédés comme : le sida, la grippe aviaire et autres. C'est fou comme les animaux attrapent des maladies. Curieusement pouvant faire mutation avec les humains dans ces temps. Peut-être les nombreux spécialistes en armes bactériologiques aident-ils la cause de l'ILLUMINATE. L'Afrique sera ravagée par le Sida, l'Asie également avec l'aide des hauts fonctionnaires de l'État autorisant les échanges de plaques sanguines, l'Europe et l'Amérique avec des virus comme la grippe aviaire et autres.

 

Il ne serait d'ailleurs pas impossible que quelques villes Nord américaines et Européennes explosent au nom du terrorisme international. En effet, durant la guerre froide, l'URSS avait mis au point une bombe nucléaire se transportant comme une valise ordinaire non détectable par les systèmes de vérification douanière et aéroportuaire. La subtilité de cette arme, un individu arrive avec cette valise dans une ville populeuse, l'amorce et repart en toute tranquillité. Avec la chute de L'URSS, lors du dénombrement des armes nucléaires, il manquait 13 de ces valises de style bombe nucléaire. Où sont-elles passées?

 

En 1994, au Rwanda deux tribus les Hutus et Tutsis parlant la même langue et de religion catholique se sont affrontées dans un génocide, tuant environ 900 000 humains. Cela en l'espace de quelques mois. Même les nazis n'ont pas été si prompts au massacre. Le général canadien Roméo Dallaire aux commandes de 2500 casques bleus de l'ONU est envoyé sur place et il sert la main du diable comme dit dans son livre au nom de la paix. L'ONU ne voulant pas intervenir parce que le pays du Rwanda ne constituait pas une activité économique intéressante. Un gouvernement mondial qui se promet de hautement considérer ses concitoyens ou de ramener l'homme chef d'œuvre de Dieu au simple rang de bétail humain?

 

Dernièrement, lors du passage de l'ouragan Katrina en Louisiane responsable de la catastrophe de la ville de la Nouvelle-Orléans. Le président Bush semblait attendre des ordres venant de plus haut que lui-même à savoir si on devait maintenir la guerre en Irak et ouvrir les valves monétaires pour corriger la situation interne en Louisiane. Il a fallu l'intervention de deux âmes médiatisées et soucieuses de leur prochain Mme Celine Dion et M. René Angélil pour exprimer ouvertement ce que des millions de personnes pensaient tout bas.

 

Cela a obligé les « banquiers internationaux » à agir et à ouvrir les valves. Évidemment, le coût de la facture a été distribué au « Goyms » avec la hausse du prix de l'essence. Pourquoi ont-ils bougé? Parce qu'ils ne peuvent se mettre les populations à dos, ils doivent composer avec les nations pour atteindre leur but premier « le Nouvel Ordre Mondial » visible.

 

Aussi ne nous éloignons pas de Dieu et prenons le temps chaque jour de nous en approcher en lisant Sa Parole, comme le fit un jour John Todd. Voici le témoignage d'un homme qui a fait partie du Conseil des Treizes (13), du côté religieux dans l'ILLUMINATE.



[95] DICTIONNAIRE USUEL, Éditeurs Quillet-Flammarion, 26 rue Racine, Paris, 1963.

Nihilisme : Doctrine d'une secte de révolutionnaire formée en Russie pour la lutte contre l'absolutisme tsariste. Ses adeptes, commirent nombre d'attentats terroristes, et le tsar Alexandre II succomba à l'un d'eux.

[96] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 130. Texte intégral.

[97] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 33 et 102-103. Texte intégral

[98] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 80-81. Texte intégral.

[99] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 43 et 130. Texte intégral.

[100] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 105 . Texte intégral

[101] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 50. Texte intégral.

[102] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 125-131 et 194-206. Texte intégral parmis ces pages.

[103] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 43 et 128 Pris de Les Francs-Maçons en France- Marabout,1969, P 204. Texte intégral.

[104] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 48. Texte intégral.

[105] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 33 et 102-206. Texte intégral parmi ces pages.

[106] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 16-31, P 50-52, P210. Texte intégral parmi ces pages.

[107] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 166, P 174-193 Texte intégral parmi ces pages.

Autres documents de références : Paul Rassinier – Le Parlement aux mains des Banques; La Révolution des Dupes; La Haute Finance et les Révolutions; Georges Bernados – La Grande Peur des Biens-Pensants; Henry Coston – L'Argent dans la Politique allemande; Peter Ferguson – Les financiers de Hitler; Henry Coston – L'Europe des Banquiers; Les Origines secrètes de la Guerre 1939-1945, numéro spécial de Lectures Françaises, juin 1957; René d'Argile – L'Affaire Grynszpan; Compte rendu du Convent du Grand Orient, 1933; Jacques Béarn – Le rôle de la Franc-Maçonnerie dans la préparation de la deuxième guerre mondiale; Georges Champeaux – La Croisade des Démocraties, 1943.

[108] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 20. Texte intégral.

[109] Le lecteur sera conscient que l'antisémitisme est contraire à la chrétienté, tout comme le Rosicrucisme, le martinisme, le Satanisme, le luciférisme, la sorcellerie. Mais Satan étant le père du mensonge, il ne faut pas s'étonner de voir toutes ces loges, soit inférieures ou supérieures et les dénominations où Église luciférienne porter des noms qui laissent supposer qu'elles sont chrétiennes.

[110] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 50. Texte intégral.

De fait, si l'on se réfère à ce que le « Charivari » nous dit d'un livre : « Sources financières du National-Socialisme », paru à Amsterdam en 1933 dont les exemplaires disparurent et auquel il n'a pas été donné de démenti, dès 1929 la Guarantee Trust cherchait un homme pour faire une contre-révolution nationale. Elle trouva Hitler. Son premier versement aurait eu lieu chez le banquier allemand Mendelshon. Il y aurait eu des rencontres. La grosse affaire aurait été financée ensuite par la « Guarantee Trust », Deterding, Président de la « Royal Deutsh » (Shell, B.P., etc.) toujours par l'intermédiaire de Mendelsohn puis de la « Roterdamshe Bank » et du « Banco Commerciale Italiano ». Ce livre qui avait pour titre hollandais « Dree Gespreeken met Hitler » avait pour auteur Sidney Warbourg, l'homme dont la banque avait financé, avec d'autres, la Révolution russe de 1917!

[111] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 148. Texte intégral.

Réf. Kadmi-Cohen – « L'abomination américaine » Kadmi-Cohen emprisonné par la Gestapo durant la guerre fut mis en liberté sur l'intervention du Maréchal Pétain avec l'aide du Nonce apostolique Mgr. Valeri. Il avait, paraît-il, conçu un plan pour sauver les Juifs de France en les évacuant vers la Palestine. Le Cabinet du Maréchal et la Nonciature avaient pourvu aux besoins financiers. Une maladresse (?) radiophonique de Londres fit découvrir ce plan. Kadmi-Cohen et son groupe furent arrêtés après l'occupation de Vichy par les Allemands...

[112] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 192-193. Texte intégral.

On a souvent évoqué les ascendances juives de Roosevelt. M. Curtis B. Dall écrit : « D'après ce que j'ai pu recueillir, l'ascendance de Franklin Roosevelt était un mélange d'Anglais, de Hollandais, de Juif et de Français » op. cit. p98. Sur le rôle du président Roosevelt comme fauteur de guerre, on a le témoignage de James Vincent Forrestal, secrétaire de la Marine U.S.A. du 19 mai 1944 au 27 juillet 1947, où il devint le premier secrétaire d'État à la Défense jusqu'au 2 mars 1949. Dans son Journal (Éditions française, Paris, 1952, p 113-114), il écrit, à la date du 27 décembre 1945 : « Joué au golf aujourd'hui avec Jœ Kennedy (Joseph P. Kennedy avait été l'ambassadeur de Roosevelt en Grande-Bretagne au cours des années qui précédèrent immédiatement la guerre). Je lui ai parlé de ses conversations avec Roosevelt et Chamberlain à partir de 1938. Il m'a dit qu'en 1938 Chamberlain estimait que l'Angleterre n'avait rien pour se battre et qu'elle ne pouvait pas courir le risque d'une guerre avec Hitler. Opinion de Kennedy : Hitler se serait battu contre la Russie, et la Grande-Bretagne n'aurait pas été entraînée dans le conflit s'il n'y avait eu Bulitt (William C. Bullitt, alors ambassadeur en France) qui tout au long de l'été de 1939, avait insisté auprès de Roosevelt pour que les Allemands soient stoppés net dans l'affaire polonaise; ni la France, ni la Grande- Bretagne n'auraient déclaré la guerre pour la Pologne sans les perpétuels coups d'épingle de Washington. D'après lui, Bullitt répétait à Roosevelt que les Allemands ne se battraient pas, Kennedy qu'ils se battraient et qu'ils envahiraient l'Europe. Chamberlain aurait dit que c'était l'Amérique et les Juifs du monde entier qui avaient poussé l'Angleterre de force dans la guerre. Au cours de la conversation téléphonique que Kennedy avait eue avec Roosevelt dans l'été de 1939, le Président n'avait cessé de lui dire qu'il fallait pousser le fer dans les reins de Chamberlain et Kennedy répondait invariablement que cela ne pouvait servir à rien si les Anglais n'avaient pas de fer pour combattre l'ennemi, ce qui était malheureusement le cas... Ce que Kennedy m'a dit au cours de cette conversation concorde dans une large mesure avec les remarques que Clarence Dillon m'avait déjà faites et qui se résumaient à ceci : Roosevelt lui avait demandé de se mettre secrètement en rapport avec les Britanniques afin d'obtenir que Chamberlain fasse preuve de plus de fermeté avec les Allemands. Dillon me dit qu'à la demande de Roosevelt, il avait parlé à Lord Lothian dans ce sens, et que sa démarche avait dû être à peu près parallèle à celle que Roosevelt avait pressé Kennedy de faire auprès de Chamberlain. Il est probable que Lothian devait communiquer à Chamberlain l'essentiel de sa conversation avec Dillon. »

Le bellicisme de William C. Bullitt, Franc-Maçon de haut grade et affilié au Council on Foreign Relations, est attesté par Szembek dans son Journal, à la date du 11 avril 1935, p60. De son côté, M. Pierre Virion écrit qu'en 1938 la banque Kuhn, Lœb et Cie « se mit en mouvement au service de l'Intelligentsia entourant le F* Roosevelt. La Pologne dont Hitler voulait s'assurer fut le piège et l'homme de la situation fut William Bullitt, diplomate, ancien agent de la Schiff, Kuhn&Lœb; il pérégrina à travers l'Europe pour pousser à la déclaration de guerre que le F* Groussier, alors Grand Maître du Grand Orient de France, disait avoir été exigée par New-York » (Pierre Virion – Bientôt un Gouvernement Mondial? P 52).

[113] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 161. Texte intégral.

Avant même le début de la II Guerre Mondiale, le président Franklin Roosevelt avait été averti qu'Alger Hiss (C.F.R.), était un important agent soviétique. L'Information provenanit du chef de la « boîte aux lettres » soviétique à Washington, Whittaker Chambers, désireux de monnayer ses renseignements contre un coup d'éponge sur ses agissements passés. Mais, le C.F.R. Roosevelt refusa non seulement de croire à la trahison d'Alger Hiss, mais refusa même de faire vérifier l'information. Alger Hiss, devenu très haut fonctionnaire au Département d'État, prit une part active à la politique étrangère des États-Unis. Ses manœuvres à la conférence de Yalta en faveur de l'U.R.S.S. eurent des conséquences catastrophiques pour le monde occidental.

En 1950, pour avoir nié sous serment qu'il avait été Communiste et espion soviétique, Alger Hiss fut condamné à cinq ans de prison pour faux témoignage, prouvé par la découverte de films reproduisant des documents secrets prêts à être transmis à la Russie. Il fut libéré de prison en novembre 1954. Sur l'affaire Hiss, voir : Ralph de Toledano – Seeds of Trahison – Henry Regnery, Chicago 1962; Whittaker Chambers – Witness; Random House, New York, 1952

Whittaker Chambers est devenu rédacteur en chef de Time, aux appointements de 30 000 dollars par an.

[114] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 105-114 et Pages 229-239. Texte intégral parmi ces pages.

Autres documentations de référence : Jacques Soustelle – La longue marche d'Israël; Dan Smoot – The Dan Smoot Report in the review of the News, 21-11-1973; Pierre Larrivé – Terre promise, mais à qui?; Georges Loïc – La reconstruction du Temple in Revue des Questions historiques, novembre 1934, p63; Henry Coston – Les financiers qui mènent le monde.

[115] Il s'agissait surtout de Juifs émigrés de l'Europe centrale et de Russie, fuyant les ghettos et les pogroms; et dont voulait se débarrasser l'Angleterre et la France.

[116] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 148. Texte intégral.

En avril 1919, le Gouvernement Britannique publia un livre blanc intitulé « Russia # 1 ». Dans l'introduction on trouvait les informations du rapport adressé au Foreign Office (L. Balfour) en 1918 par Oudendyke, son chargé d'affaire en Russie, sur les origines, les buts et conséquences du bolchevisme qu'il fallait extirper au plus vite. A peine paru, ce livre blanc fut retiré de la circulation et remplacé aussitôt par une seconde édition d'où l'information Oudendyke avait disparu. Et j'ajouterais, que probablement L. Balfour attendait-il l'information de Oudendyke pour savoir si le monstre était contrôlé, afin de faire reconfirmer le « traité Sykes-Picot » à San Rémo.

[117] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P -229. Texte intégral.

Dans le Journal de Forrester ministre de la Marine américaine.

« Branden a exprimé son inquiétude, nota Forrestal, au sujet de l'engagement pris par quelques deux cents membres du nouveau Parlement de soutenir le Foyer National Juif. Il a déclaré que cela pourrait bien provoquer une explosion au Moyen Orient qui est devenu une véritable poudrière; que des millions d'Arabes seraient prêts à prendre les armes immédiatement si un pareil programme était mis en application. Il a ajouté que les Russes seraient probablement enchantés de tels désordres et qu'ils avaient déjà adopté une attitude fort agressive en Perse. » p 90.

[118] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 142-147. Texte intégral parmi ces pages.

[119] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 143. Texte intégral parmi ces pages.

[120] Semble vouloir dire efficacité à construire, à fabriquer, à inventer à la manière européenne.

[121] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 45, P 109-111, P 117-118, P 138. Texte intégral parmi ces pages.

[122] 125 Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 224 et P 270-271. Texte intégral parmi ces pages.

[123] Paul-Henri Spaak, père du Marché Commun Européen et Secrétaire Général de l'OTAN, décrivait au chapitre 4 la « bête » comme un ordinateur central situé à Bruxelle. Celui-ci disait dans un de ses discours: nous ne voulons pas d'un autre comité, nous en avons trop maintenant. Ce que nous voulons, c'est un homme de telle stature qui soit capable de rallier l'allégeance de tous les peuples et de nous tirer du marasme économique dans lequel nous nous enfonçons. Envoyez-nous un tel homme, et qu'il soit dieu ou démon, nous l'accueillerons.

[124] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 45, P77 et P121-126. Texte intégral parmi ces pages.

[125] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 207-217. Texte intégral parmi ces pages.

[126] Le terme abandonner la Foi ne signifie pas qu'on peut perdre son salut. Cela veut dire, que la communauté chrétienne auparavant avec les horreurs de la guerre se refroidit; et les prochaines générations laissées à elles mêmes, sans guide, perdent la Foi.

[127] Eleanor Roosevelt était la femme du défunt président F* Franklin D. Roosevelt.

[128] Autres Références : Jacques Bergier et Bernard Thomas – La Guerre secrète du Pétrole; Henry Coston – L'Europe des Banquiers; Christian Jelen et Olivier Oudiette – La Guerre Industrielle; Pierre Nord – Vols de Vautours sur le Congo.

[129] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 77,P 122 et P 145. Texte intégral parmi ces pages.

[130] Des Templiers aux Francs-Maçons la transmission du mystère par Michael Baigent/Richard Leigh, Éditions du Rocher, Jean-Paul Bertrand Éditeurs, copyright 1991, ISBN 2 268 01100 3. P-318.

[131] G.P. Putnam & Sons, New York, 1899, Vol. X, p. 31.

[132] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, P 1-286. Nom intégral parmi ces pages.