6. Le système bancaire

Ce monde caché aux yeux des gens ordinaires recèle de beaux labyrinthes. Seuls les initiés s'y s'ont toujours compris. Tentons donc d'en faire découvrir quelques dessous.

a. Les Banquiers internationaux

Dès le XVIII ième siècle, les Banquiers internationaux comprirent l'importance de s'unir : c'est ainsi qu'il constituèrent le « Syndicat International »[72], connu en Angleterre sous le nom de « Merchants Bankers » ; et aux États-Unis sous « Investment Bankers ». Les banquiers qui le composait, étaient les Baring, Boyd, Hope, Labouchère, Parish, Bethmann, Rothschild sans avoir la richesse qu'allait leur procurer le coup de Waterloo[73]; par la suite est venu s'ajouter John Pierpont Morgan de New-York. La maison mère du Syndicat se trouvait à Francfort. Ils se distiguaient des autres banquiers en ces points :

 

  1. Cosmopolite et international

  2. Accointances avec les gouvernements; ils s'intéressaient aux emprunts d'État

  3. Ne manipulaient que de l'argent, très rarement de la marchandise

  4. Observaient la politique du secret et ils s'attachaient à l'influence occulte de la finance sur la vie politique internationale

 

Au milieu du XIX siècle, « La Ligue des Hommes Justes », engagea Karl Marx[74] pour reprendre les œuvres de Adam Weishaupt, comme expliqué précédemment. Entre autre, dans la cinquième proposition, on dit :

 

« [75]Centralisation du crédit entre les mains de l'État, au moyen d'une Banque Nationale, dont le capital appartiendra à l'État, et qui jouira d'un monopole exclusif »

 

La Haute finance internationale allait reprendre cette conception pour le monde capitaliste :

 

« [76]La Banque Centrale telle que l'entend le Système, est un institut à caractère officiel, mais sous capitaux et direction privés, avec privilèges exclusifs, qui permet d'obtenir le contrôle absolu des finances et de l'économie du pays »

 

Effectivement, en créant un réseau de Banques Centrales reliées à une tête dirigeante, les banquiers internationaux deviendraient automatiquement maîtres du monde. Donc, ils s'appliquèrent à travers certaines manœuvres à faire accepter l'idée de base à tous les pays dont la situation économique le justifiait. Et dès le départ, par des cadres synarchiques ou des cadres de banques privées, la Banque Centrale chercha à prendre le contrôle sur son gouvernement[77] :

 

  1. en provoquant l'endettement de l'État

  2. par les emprunts du Trésor suivant la stratégie du jour

  3. par des actions concertées des Banques Centrales sur les échanges extérieurs, et donc sur l'activité économique du pays, avec ses conséquences sociales

  4. par la manipulation des politiciens « coopératifs » récompensés éventuellement par de grasses préhendes dans le monde des affaires

  5. par un appui financier dans la poursuite de leur carrière politique

 

Puis, dans l'entre deux guerres en 1930 à Bâle fut fondée La Banque des Règlements Internationaux. Son objectif consiste à récupérer les surplus des réserves monétaires des Banques Centrales dans le monde entier, et à les relocaliser ailleurs dans le monde. D'ailleurs nous reviendrons sur ce sujet au cours de ce chapitre.

De nos jours, les Banques Centrales, sont reliées à une Banque dirigeante. Les Banques Centrales des nations sont sous la coupe des Banquiers Internationaux. Mais, il a fallu beaucoup de sang; des hommes ont payé de leur vie pour essayer d'empêcher ces choses.

b. Federal Reserve Bank[78]

En 1860, l'élection à la présidence d'Abraham Lincoln allait déclencher la Guerre de Sécession (1861-1865) entre les Sudistes « esclavagistes » et les Nordistes ou « fédéraux » Mais, la véritable raison franc-maçonnique était d'unifier le pays, car on craignait une séparation des États du Sud ; et du même coup on voulait s'assurer de la suprématie du Nord sur le Sud pour éviter un effritement des États. Car il était désormais connu que les États-Unis d'Amérique serait la nation par laquelle serait dirigé le plan d'instauration mondiale. Dès le début de la campagne, pour en assurer le financement, le Trésor émit pour 450 millions de dollars de papier-monnaie « greenbacks », sans couverture et sans soutien bancaire. La guerre se poursuivant (1861-1865), en 1863, le National Bank Act fut votée, il autorisait l'émission de billets de banque en contrepartie d'achat de bons du Trésor portant intérêt par n'importe quelle banque nationale. Donc, le monopole de la dette publique échappa à « Investment Banker ». Voici les Banquiers Internationaux qui financèrent cette guerre : Morgan, Kuhn, Lœb, Seligman, Speyer, Rockefeller. Certains Banquiers Internationaux financèrent même les deux côtés[79], soit les sudistes et les nordistes. Pour un Banquier, il y a rien de plus payant que de financer une guerre :

 

  1. Le pays s'endette

  2. Le gouvernement devient leur obligé

  3. Une fois tout détruit, ils font une fortune en prêtant pour rebâtir

  4. Il augmente la nécessité d'un gouvernement mondial

 

Dès la capitulation du général Lee, le gouvernement adopta une politique déflationniste qui lui donna des surplus budgétaires, ainsi ils purent retirer rapidement du marché les bons du Trésor. L'expansion rapide de l'économie américaine, faisant appel à un large appel aux capitaux privés, risquait de faire perdre le contrôle entre les mains de Wall Street. Tout cela déplaisait énormément à la Haute Finance Internationale. Monsieur Jacques Bordiot dans son livre Une Main Cachée Dirige émet l'hypothèse que Abraham Lincoln aurait pu être assassiné indirectement par eux. Booth, aurait peut-être agi comme tueur à gage pour leur compte. En fait, lors de l'enquête, un détail important n'a pas été clarifié. Booth fit un voyage, fin de 1863, début 1864 à Paris. Il était venu en qualité de représentant sudiste, mais John Slidell occupait déjà le poste auprès de la Haute finance. Toujours, selon M. Bordiot, « la disparition d'un ennemi acharné et des Sudistes et des Banques Centrales ne laisserait-elle pas l'espoir qu'un successeur se montrerait plus perméable à des négociations éventuelles? ».

Après la mort de Lincoln, ils jugèrent le moment venu de revenir à la charge avec la création d'une Banque Centrale, mais ils se heurtèrent à la résistance des Banques de l'Ouest, qui dressèrent leur clientèle contre « Investment Banker ». Alors, ils chargèrent J.P. Morgan de briser leur résistance en provoquant artificiellement des paniques à Walt Street, ce qu'il parvint à faire avec éloquence. Ainsi, une enquête portant sur la création d'une Banque Centrale, dans le Banking Law Journal en décembre 1909, « montrait que 55% des banquiers interrogés étaient favorables à la création d'une Banque Centrale, à condition qu'elle échappe à Wall Street et à tout intérêt monopolisateur ». Le sénateur Aldrich, homme de confiance de Morgan, fut chargé de présenter la proposition au Congrès. Mais, il fit la maladresse de réclamer au Congrès le « Federal Reserve System ». À l'époque le président des États-Unis, William Howard Taft, avait manifesté ouvertement son opposition à l'Aldrich Bill. Le projet fut repoussé au Congrès en 1911.

 

Ils mirent leur projet en veilleuse, jusqu'aux élections présidentielles de 1912. Le président sortant, William Taft était assuré de remporter les prochaines élections. Contre lui, le candidat démocrate Thomas Woodrow Wilson, n'avait aucune chance. Wilson appartenait à Morgan depuis 1907. Grâce à l'appui financier de J .P. Morgan et celui d'anciens élèves de Princeton et soutenu par la Franc-Maçonnerie, (F*=le Franc-Maçon) Thomas Woodrow Wilson fut élu en 1910 gouverneur de l'État de New-Jersey.

 

Pour les élections présidentielles de 1912, la tactique consista à diviser les votes des républicains. Ils présentèrent le F*[80] Théodore Roosevelt qui avait cédé sa place à Taft, mais il se présenta sous le ticket de Parti Progressiste, invention de J.P. Morgan. Pour soutenir financièrement l'opération du Parti Progressiste; Rockefeller, Schiff, Baruch, Morgan, Morgenthau, Rothschild. Le 4 mars 1913, le F* Thomas Woodrow Wilson, devenait le vingt-huitième président des États-Unis.

Inutile de dire qu'il devait beaucoup de services à «The Establishment »; aussi Wilson était vulnérable dans sa vie privée « Peck's Bad Boy [81]». On raconte que par un samedi matin de l'été 1912, son ami Bernard Baruch pénétra au siège du Parti Démocrate, à New York, remorquant Wilson « comme un caniche au bout de sa laisse ». Avant son élection Wilson avait été sous la surveillance du F* Colonel Edward Mandell House, affilié à la société secrète Illuministe des Master of Wisdom (Maître de la Sagesse), celui-là même qui devait fonder le Council on Foreign Relations.

 

Le cabinet de Wilson pullulait d'Illuministes. Durant le mandat de Wilson (1913- 1921), la haute finance se préparera t-elle, dès 1913 à faire la guerre à l'empire des Hohenzollern par l'assasinat de l'Archiduc Ferdinand annoncé par le Party de Clam et le F* Colonel House[82]. Guerre que seuls, les initiés connaissaient, car elle n'était même pas soupçonnée du public. Ils créèrent la Société des Nations. Tandis que, le 22 décembre 1913, le Federal Reserve Act, présenté au Congrès par le président Wilson dont la rédaction approuvée par le Banquier Internationaux Paul Warburg, fut adoptée par 298 voix contre 60 à la Chambre des Représentants, et par 43 voix contre 25 au Sénat.

 

Le Federal Reserve Act, stipule que l'organisation est dirigée par un Federal Reserve Board of Governors, composé de sept membres, désignés par le président des États-Unis pour une durée de quatorze ans, renouvelable à raison d'un membre tous les deux ans. Donc, le Conseil est complètement indépendant du président et des politiques monétaires du gouvernement. Supposons qu'un président soit élu pendant deux mandats, c'est le maximum qu'il peut escompter, il changera à la fin de son mandat le quatrième homme. Il ne pourra par la suite dicter sa politique monétaire, puisqu'il ne sera pas le président en poste. En fait, il ne songera même pas à cela, à moins d'y être invité par la Haute finance, car qui financera son deuxième mandat électoral? Les sept membres sont des banquiers et des hommes de main de « The Establishment » dont la carrière dépend de leur dévotion à l'ILLUMINATE. La Banque centrale du Canada et plusieurs autres pays ont une structure similaire.

c. La Banque d'Angleterre[83]

Déjà en 1852 le ministre des Finances Gladstone déclara « le gouvernement lui-même n'avait aucun pouvoir réel en matière de finances, mais devait le laisser à la Puissance d'Argent souveraine et indiscutée ».

 

En 1946, le gouvernement travailliste a nationalisé la Banque d'Angleterre, mais cela n'a pas changé beaucoup de chose à l'ingérence de la Haute Finance. The Court est composé de deux gouverneurs, dont un adjoint, avec mandat de cinq ans, assistés de seize membres parmi les banques privées, avec mandat de quatre ans et renouvelable par quart. Par leur influence, dix-sept (17) banques privées internationales décident. Parmi ces « Merchants Banker » : Rothschild, Lazard, Baring, Schrœder, Hambro, Morgan, Grenfell.

d. La Banque de France[84]

En 1789, l'avocat Taboureau de Montigny présenta un projet de Caisse Nationale, dont lui seul désignerait les personnes capables de veiller sur les fonds publics. Cela n'allait pas dans le sens du Syndicat qui y voyait une concurrence. Mais, la révolution bien orchestrée par la franc-maçonnerie devait permettre aux banquiers de manifester leur mécontentement. Aussi, il spéculait à la baisse l'assignat[85]. Le système se trouva acculé à la faillite, et le Directoire décréta l'emprunt forcé avec réévaluation de l'assignat. Or, Bonaparte en Égypte fut approché par Bourbaki pour le compte des Banquiers Perrégaux et Le Couteulx, lui disant que deux millions étaient disponibles pour un coup d'État. Et ce fut la Constitution du Consulat. Bonaparte, reconnaissant, s'empressa de constituer un syndicat; le 10 janvier 1800, il déposait au ministre des Finances un projet de Banque de France en société privée, la Banque serait composée d'un Comité Central de quinze membres, désignés par un Conseil général formé par les Régents élus par les deux cents plus gros actionnaires.

 

Le 22 avril 1806, Napoléon modifia ces statuts, suite à la fâcheuse opération sur la piastre espagnole; et il confirma que « les 200 actionnaires qui composeront l'Assemblée générale seront ceux qui seront constatés être, depuis six mois révolus, les plus forts propriétaires de ces actions ». Il venait de donner la mainmise de la Haute Finance sur la Banque centrale de France. En 1936, le Front Populaire réforma les statuts de la Banque de France, le Front Populaire pouvait élire deux (2) membres; les autres membres, soit, vingt et un (21) étant nommés par l'État. Si tu veux conduire une banque à bon terme, cela te prend des banquiers de carrière que tu trouves chez le Syndicat.

 

 

Puis, le 2 décembre 1945, la Banque était nationalisée, l'État devenait propriétaire à part entière sans en changer les statuts. Jusqu'ici, les gouverneurs nommés pour l'administrer, sont tous des banquiers de formation ayant fait leur apprentissage dans le privé. En dépit des nationalisations, la Haute Finance contrôle le Conseil Général de la Banque de France.

 

Il est à noter que le remplacement de la royauté par une démocratie, a créé, un changement profond au niveau du catholicisme. La France, sous le règne des rois, était colonisatrice. Par le fait même, l'Église Catholique exportait la religion dans les nouvelles colonies. Mais, en devenant une démocratie, la politique de la Haute Finance sera tout autre, et non collée à l'Église. De nos jours, le Canada et les États-Unis envoient des missionnaires dans ce pays.

e. La Révolution Russe[86]

Bien que la révolution russe et le rideau de fer étaient arrêtés au sein des cercles Franc-Maçonniques, depuis 1817, le manuscrit des Slaves en expose les détails à cet égard venant de la Loge « Slavoniens Unis [87] » :

 

« Par une alliance fédérative et un gouvernement républicain mais sans porter préjudice à leur indépendance respective, unir les huit pays slaves dont les noms étaient inscrits sur un sceau à huit compartiments : la Russie, la Pologne, la Bohême, la Moravie, la Dalmatie, la Hongrie avec la Transylvanie, la Serbie avec la Moldavie et la Valachie »

 

Pour bien situer le contexte, on va donner les pays d'aujourd'hui.

 

ROUMANIEformé de la Transylvanie, la Valachie, la Moldavie, la Dalmatie
TCHÉCOSLOVAQUIEformé de la Moravie, la bohême
YOUGOSLAVIEformé de la Serbie

 

Il est à remarquer que ces mêmes pays ont formé le Rideau de fer. Dans le texte ont peut y lire le mot républicain, un parti politique américain. Cela confirme que « The Establishment » ou la tête financière est avant tout située aux États-Unis. Et cela explique largement la guerre de Sécession. Pour en revenir à la révolution russe, on sait qu'elle a été préméditée par les Loges Franc-Maçonniques Illuministes. Mais pour quelles raisons? C'est avant tout une guerre spirituelle. Lorsqu'on abordera le chapitre 5, on approfondira en détail les parties en cause. Mais, contentons-nous de dire que l'Église Catholique du Moyen-Âge a été très puissante, elle a été inquisitrice, plusieurs juifs et hérétiques sont morts. Une catégorie de gens a dit : c'est ça le Christianisme. Une Église centrale puissante et méchante qui tue. Alors, dans le secret une nouvelle idéologie a fait son chemin. Les gens qui y addhérent ont pris une religion de mystère; les juifs riches et les vrais hérétiques se sont retrouvés dans la Kabale. Et ces même gens ont œuvré pour diminuer la force du catholicisme, et considèrent dans leur cœur les chrétiens comme étant les êtres les plus méchants de la terre.

 

Personnellement, je ne peux pas comprendre, comment un chrétien né de nouveau, peu enfreindre le commandement « Tu ne tueras point (Deut. 5 :17) ». Aussi, tous les empires à forte densité judéo-chrétienne catholique, doivent pour eux être détruits ou assimilés. Un changement idéologique véhiculé par un gouvernement libéral ou totalitaire et dont la religion catholique ne peut pas influencer.

 

 

  1. La France

  2. La Russie

  3. L'empire Autriche-Allemagne-Italie

  4. Le Vietnam

  5. L'Espagne

  6. Les anciennes colonies devenues indépendantes

 

La Russie du Tsar persécutait les Juifs, et le B'nai B'rith, n'appréciait pas la politique des pogroms. Cet antisémitisme dû au catholicisme qui considérait les Juifs comme des déicides et leurs traditions et coutumes judaïques, rendait la vie de leurs coreligionnaires très pénible. Alors Jacob Schiff, entreprit une vaste campagne contre le Tsar.

 

Mais, une autre raison et bien plus importante allait changer en 1917 le cours de l'Histoire. En effet, l'Angleterre, la France, les autres pays d'Europe ne tardèrent pas à posséder leurs Banques Centrales, mais le Tsar refusa la création d'une Banque Centrale sous contrôle étranger. Cette attitude expliquerait pourquoi tant de Banquiers Internationaux financèrent la révolution d'octobre 1917.

 

L'idée d'Adam Weishaupt et le manuscrit écrit par Karl Marx pour la Société des Hommes Justes avait fait son chemin depuis 1848. Entre 1817 et 1825 cent quarante-cinq loges franc-maçonniques[88] au moins martinistes pour la plupart, abritèrent, en Russie, les rêves et les conspirations socialistes des intellectuels et de nombreux officiers. Les Illuminés pullulent à Saint Petersbourg et à Moscou. Une preuve indéniable que l'ILLUMINATE est derrière la révolution d'octobre 1917, en est la colonne d'Alexandre, sur la place du Palais d'hiver de Saint-Pétersbourg (Léningrad). Elle est décorée de l'insigne Illuministe, le « triangle omnivoyant ». Ce même signe se retrouve sur la monnaie américaine avec le Grand Mémorial Américain de Saint-Laurent accompagné de la devise « Annuit Cœptis Novus Ordo Saeculorum ». C'est à dire le nouvel ordre des Siècles promis à ceux qui l'ont entrepris.

 

Jacob Schiff[89] était l'ami personnel de Milioukov, franc-maçon certainement martinisme, auteur de la révolution de mars 1917 qui chassa le Tsar. Lors de la révolution, Lénine, Sumenson, Koslovsky voyageaient dans un train en Allemagne ou en Suisse, tandis que Trotsky était au Canada, à Halifax.

 

Évidemment, on sait tous qu'une révolution, pour réussir, nécessite un soutient financier et une organisation clandestine opérée par la Franc-Maçonnerie. Sinon, après quelques jours le système tombe. Et c'est ce qu'il firent, car Milioukov adressa un télégramme diplomatique aux alliés, en leur demandant de l'aide. Ceux-ci auraient pu obliger Milioukov à remettre Nicolas II sur le trône. Rapidement, Lénine, Trosky et les autres furent retournés en Russie, avec beaucoup de liquidités, et certaines conditions[90] afin d'organiser la révolution d'octobre 1917 et de soutenir la nouvelle dictature.

 

Participèrent assurément au soutien de la révolution russe les Banquiers Internationaux suivant : Schiff, B'nai B'rith, Warburg, Kahn, Lœb, Givotovsky, Morgan, Rothschild, Lazard, Rockefeller, Milner, Khun, Warbourg[91], Hanauer, Guggenheim, Breitung.

 

On aurait pu écraser économiquement la Russie, dès le départ. Le parti bolchévique, minoritaire mais agressif, fut financé par l'ILLUMINATE pour renverser le gouvernement provisoire de Milioukov. Car, on craignait comme mentionné auparavant, qu'il donne le trône à la monarchie de nouveau avec l'aide des alliés. Le Parti comptait 18 000 militants agressifs. Ils se rendirent maîtres du château d'hiver à Pétrograd (aujourd'hui Leningrad) et combattirent les forces impériales coupées de tout ravitaillement. Avec l'aide des loges maçonniques qui conditionnaient la populace, il s'accapara les petites Russies étrangères à la révolution. Lénine fit une élection dite libre dans laquelle il promit la paix aux forces armées et policières exténuées d'être sur le front. Ainsi, il s'acquit le vote militaire, policier et dans certaines russies, 45% du vote de la population. Malheureusement, l'élection lui conféra une minorité des suffrages de 15% des votes. Comparativement au parti socialiste révolutionnaire comptant l'appui de 58 % de la population russe. Fort de sa situation militaire et policière; et de son électorat centralisé dans des postes stratégiques, Lénine ne céda jamais le pouvoir au « soviet » ou parti social-révolutionnaire. Le résultat : 6% de la population érigea un régime totalitaire dont 94% de la population fut captive. Contrairement à ce qu'on prétend à plusieurs autres occasions, l'U.R.S.S. aurait pu s'écrouler, comme[92] :

 

1918 – War Trade Board, c'est une résolution d'effectuer plus de commerce

 

1922 – Effondrement économique, l'U.R.S.S. reçut une puissante aide financière de Kuhn, Lœb, Rockefeller, aide économique, aide alimentaire.

 

1928-1933 – Plan quinquénal avec long crédit américain et des banquiers Kuhn, Lœb

 

1932 – Les États-Unis et certains pays d'Europe viennent au secours de la Russie par opposition au national-socialisme.

 

1941 – Les États-Unis accordent aux soviétiques le bénéfice de la loi « Prêt Bail » durant la deuxième guerre mondiale.

 

1958 – Forte baisse du taux de croissance soviétique; les occidentaux augmentent leurs ventes de matériel de production. « Henry Morgenthau Jr., ministre des Finances, de connivence avec Harry Dexter White, sous secrétaire d'État, et Harold Glasser, préposé à la gestion du Trésor, ont fourni au Gouvernement russe des planches à billets (banknote en dollars), ainsi que plusieurs cargaisons d'encre spéciale et quatre cargaisons d'avions de papier spécial pour l'impression de nos billets en Allemagne de l'Est, afin de payer deux ans de solde aux soldats russes. On assure que les rentrées d'argent aux États-Unis sont estimées à environ 19 000 000 000 $ [93]». Combien y en a t-il en Eurodollard?

 

1969 – Baisse catastrophique de la production alimentaire, en particulier de blé; le président Nixon promulgue l'Export Administration Act et accorde la fourniture d'une quantité très importante de céréales à un prix inférieur à celui du marché.

 

Mais, pourquoi avoir maintenu un régime totalitaire communiste? En réalité, il y a trois excellentes raisons :

  1. Détruire la chrétienté dans les mœurs et coutumes russes. Le régime communiste spécialement durant le règne de Lénine et Staline, a été très dissuasif, persécutant et dangereux vis-à-vis les chrétiens. Donc, en imposant un régime totalitaire répressif, on a voulu détruire ce château-fort orthodoxe (74,6%) et catholique (7,6%).

     

  2. En isolant le régime communiste, on lui donnait la chance de pouvoir s'émanciper dans le secret. C'est ainsi qu'on a pu créer la dualité de deux super puissances atomiques et nucléaires. Et initié dans l'opinion du publique, la nécessité de conserver la Société des Nations, devenu Organisation des Nations-Unies. Naturellement, cette unification des nations est un premier pas vers un Gouvernement Mondial totalitaire socialiste.

     

  3. En détachant l'U.R.S.S. du reste du monde, on a eu une super puissance fermée qui a servi principalement l'intérêt de l'ILLUMINATE. L'U.R.S.S. est devenu un vaste terrain d'exploitation avec main d'œuvre non rémunérée pour le compte des Argentiers, dont le premier gouvernement était composé de beaucoup de Juifs provenant de East Side New-York et par la suite des « Collège Invisible ». La centralisation du PNB entre les mains d'un gouvernement Illuministe a servi à promouvoir l'industrie de guerre et la dualité des super puissances, nous laissant miroiter la nécessité d'un seul Gouvernement Mondial Interplanétaire. Tout comme le Council on Foreign Relations, ils ont eu leur école de cadres synarchiques. Ces technocrates qui ont tôt fait de disputer le pouvoir entre le Parti et le Gouvernement pour le compte de l'INTERNATIONALE. Après l'effritement de l'U.R.S.S. en 1985, les Républiques devenant indépendantes l'une à la suite de l'autre. L'INTERNATIONALE s'est dépêchée de créer 15 Banques Centrales reliées à une Fédération.

Après la seconde guerre mondiale, le 11 février 1945, se réunissait à Yalta, trois Illuministes du 33 ième parallèle, soit : Roosevelt, Churchill et Lénine. On venait de dévoiler au monde entier le Rideau de Fer. Comme par une étrange coincidence, ce fut la démarcation exacte de la Loge Illuministe Slovaque, un plan connu depuis 1817.

 

« Par une alliance fédérative et un gouvernement républicain mais sans porter préjudice à leur indépendance respective, unir les huit pays slaves dont les noms étaient inscrits sur un sceau à huit compartiments : la Russie, la Pologne, la Bohême, la Moravie, la Dalmatie, la Hongrie avec la Transylvanie, la Serbie avec la Moldavie et la Valachie »

 

Incontestablement, le but inavoué de cette conspiration fut le même qui avait forcé la Russie, moins de trente ans auparavant, à l'isolation. De nos jours en 1997, même avec l'effondrement du communisme et du Rideau de fer, il n'en demeure pas moins que les objectifs invisibles de l'ILLUMINATE ont été atteints. Une population sans foi chrétienne, soumise aux technocrates. L'Organisation des Nations Unies n'est plus remise en question par les nations, au contraire elle est indispensable. Le mondialisme paraîtra bientôt en son temps. Il n'est d'aucune utilité de soutenir le Rideau de fer. Au contraire pour les Banquiers ce sont des sommes d'argent mal investies. Donc, laisser ces pays se débrouiller dans un capitalisme sauvage sera pour eux le meilleur apprentissage social vers une homogénité mondiale. En leur heure les Loges maçonniques Illuministes, quoique bien infiltrées dans tous les secteurs d'activités sociales et gouvernementales de ces pays se réveilleront pour former un corps solide dans un Gouvernement Mondial. Car ne l'oublions pas, si la prophétie contre Gog au pays de Magog s'applique à l'Antéchrist, alors l'Antéchrist sortira de l'U.R.S.S. Donc, son effritement constitue un immense cheval de Troie, que les Loges Franc-Maçonniques et la puissance des Argentiers rétabliront en son temps.

f. La Banque des Règlements Internationaux (BIS)[94]

La Banque des Règlements Internationaux est située au Centralbahnplatz 2, Bâle, Suisse. Fondée en 1930, cette Banque est la Grande Banque planétaire des Banques Centrales de 120 pays dans le monde. Sur son bureau des directeurs y siègent onze (11) pays, soit : Belgique, Canada, France, Allemagne, Italie, Japon, Hollande, Suède, Suisse, Royaume Uni et États-Unis. Souvent, ce sont des membres provenant de Banques Centrales. Les Banquiers Internationaux contrôlent cette Banque, il va de soi que cette organisation est la force principale de l'ILLUMINATE. Pour comprendre sa puissance, des règles d'économie sont primordiales. Prenons le système bancaire canadien, l'un des meilleurs au monde. Son système est relativement simple. Les contribuables font affaire avec des Banques à charte comme : Banque Royale, Banque Canadienne Impériale de Commerce, Banque Laurentienne, Banque de Montréal, Banque Nationale, Banque de Nouvelle-Écosse, Banque Toronto Dominion et autres. Ces différentes Banques ont des succursales partout au Canada et certaines aux États-Unis. Les contribuables y déposent leurs économies. Dépendamment, des directives de la Banque Centrale du Canada, les Banques à charte sont obligées de garder une réserve et de renvoyer le reste des économies à la Banque centrale. Supposons que je dépose 100 $ à la banque Laurentienne et que les directives de la Banque Centrale sont de 10%, celle-ci conservera 10 $ et retournera 90 $ à la Banque Centrale du Canada. Le principe étant la faible possibilité que l'ensemble des épargnants redemande dans une même journée et heure leurs économies d'un même coup. Rendu à la Banque centrale du Canada, ce 90 $ est conservé selon les besoins de liquidités. Ainsi, la Banque Centrale du Canada, dépendamment de sa politique, pourrait très bien décider de garder 20 $ dans son encaisse et distribuer 70 $ à la Banque des Règlements Internationaux. L'exemple que j'ai utilisé est propre à un seul épargnant, imaginez-vous à l'ensemble du pays.

 

Premièrement, la Banque des Règlements Internationaux est un dépositeur exclusif des Banques Centrales. Deuxièmement, les Banques Centrales placent entre ses mains (BIS) d'importantes portions de leur réserve. De cette façon la Banque des Règlements Internationaux fait des milliards juste sur les monnaies à spéculer sur les valeurs étrangères. Nos gouvernements font face à un chantage éhonté. Troisièmement, elle agit comme agent fidéocommissaire ou syndic dans les faillites à l'exemple du Mexique et de la Nouvelle-Zélande.

 

Autres organisations apparentées à la Banque des Règlements Internationaux, celles-ci: Group of Ten (G-10) Central Banks, Centro de Estudios Monetarios Latinoamericanos (CEMLA), Executive Meeting of East Asian and Pacific Central Banks (EMEAP), Central Banks of South East Asia, New Zealand and Australia (SEANZA), South East Asian Central Banks (SEACEN), South Asian Association for Regional Cooperation (SAARC), Gulf Cooperation Council (GCC), South African Development Community SADC.

 

La Banque des Règlements Internationaux est le principal donateur du Fonds Monétaire International (IMF) ou Banque Mondiale de la Société des Nations Unies. Elle participe activement à European Bank for Reconstruction and Development (EBRD), Institute for Biological Reseach and Development (IBRD); on serait en droit de se demander si un petit groupe sélect ne bénéficie pas d'une médecine très avancée; dans l'Organization for Economic Cooperation and Development (OECD), entre autres, on y retrouve une division Nuclear Energy Agency (NEA) [soucoupe volante ?].

 

Parmis les cent-vingt (120) Banques Centrales suivant la politique de la Banque des Règlements Internationaux (BIS), on y trouve : Oesterreichische Nationalbank (Autriche), Bahrain Monetary Agency (Bahrein), Banco Central do Brazil (Brésil), Bank of Canada (Canada), Banco de la Republica (Colombie), National Bank of Croata (Croatie), Central Bank of Cyprus (Cyprus), Banco Central del Ecuador (Équateur), Eesti Pank (Estonie), Suomen Pankki (Finlande), Banque de France (France), Deutsche Bundesbank (Allemagne), Hong Kong Monetary Authority (Hong Kong), Reserve Bank of India (Inde), Bank of Israel (Israël), Bank of Jamaica (Jamaïque), Bank of Japan (Japon), Banque du Liban (Liban), Bank of Mauritius (Île Maurice), Banco de Mexico (Mexique), Reserve Bank of New Zealand (Nouvelle-Zélande), Norges Bank (Norvège), National Bank of Slovakia, The South African Reserve Bank, Banco de Espagna (Espagne), Central Bank of Sri Lanka (Sri Lanka), Sveriges Riksbank (Suède), Bank of Thailand (Thaïlande), Türkiye Cumhuriyet Merkez Bankasi (Turquie), Bank of England (Royaume Uni), Board of Governors of Federal Reserve System (Washington) Federal Reserve Bank of New York (États-Unis). D'autres pays en font partie comme : Belgique, Italie, Hollande, Suisse, Bulgarie, Chine, Tchécoslovaquie, Danemark, Grèce, Hongrie, Islande, Irlande, Corée, Lettonie, Lituanie, Pologne, Roumanie, Russie, Arabie Saoudite, Singapour et autres.

g. Les Grands Argentiers

Pour poursuivre les réalités de notre monde et leur agencement chronologique au sein de l'ILLUMINATE, le lecteur doit savoir dès maintenant que la majorité des Banquiers Internationaux sont Juifs. Personnellement, je n'ai rien contre cela et j'en suis même content, car ils poursuivent un but clair pour moi. C'est-à-dire mettre le Faux Messie au pouvoir, selon la Kabbale. Il va de soi, que pour nous chrétiens, c'est l'Antéchrist. Mais je vous expliquerai plus en détails en quoi consiste la « Kabbale » au chapitre 5 de ce livre. Que les Grands Argentiers soient Juifs me rassure, car le peuple Juif a souffert énormément au Moyen Âge par une Église non regénérée qui est loin d'avoir apporté au monde les fruits de l'ESPRIT-SAINT de DIEU. Nous avons vu précédemment au chapitre 3, les atrocités commise par les nations contre le PEUPLE DE DIEU. Sachant cela, il sera plus facile de comprendre les buts convergents de la Franc-Maçonnerie et de la Haute Finance dans les politiques d'intégration de l'ILLUMINATE. Du moins, ils étaient convergents jusqu'à la deuxième guerre mondiale.



[72] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 12-13. Texte intégral.

[73] À la nouvelle de Waterloo, Nathan Rothschild, informé de première instance par télégraphe, fit courir à la Bourse de Londres le bruit de la victoire de Napoléon, il rafla tous les titres et valeurs en forte baisse, qu'il revendit le lendemain à la hausse quand la vérité eut été rétablie. Il en tira un bénéfice si considérable qu'il se hissait au premier rang des banquiers internationaux.

[74] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 266.

Karl Marx : The Red Prussian par Leopold Schwartzschild, Grosset&Dunlap, New-York, 1947, cité par Alan Stang. Le socialisme français face au marxisme par Robert Aron, Graset, 1971, cité par Valeurs actuelles, 16 aôut 1971, P 33.

Marx et Engels qui ont écrit le Manifeste se souciaient très peu des masses prolétariennes. En fait Friedrich Engels est né à Barmen (Prusse Orientale) en 1820. Son père était l'opulent propriétaire d'une manufacture de tissage, avec succursale à Manchester, en Angleterre. Il jugea bon de se réfugier à Manchester, où il vécut très à l'aise des bénéfices de sa manufacture; bénéfices procurés par les « forçats de la faim » de son tissage. Engels assura largement la subsistance à Karl Marx. Car si en public et dans leurs écrits, Marx et Engels se faisaient les ardents défenseurs du prolétariat, auquel ils prêtaient toutes les qualités, il en était tout différemment dans le privé. Au cours de ses conversations, Engels parlait des prolétaires avec un profond mépris, les traitant de « ces types », « ces ânes », « ces stupides travailleurs qui gobent n'importe quoi ». Il leur reprochait leur manque d'intelligence, leur écœurante « apathie et leur mesquine jalousie ». De son côté, en 1866, Marx jugeait les travailleurs parisiens : « ouvriers de luxe, qui se trouvent, sans s'en douter, appartenir très fort à la vieille ordure. Ignorants, vaniteux, prétentieux, bavards, gonflés d'emphase ».

[75] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 19. Texte intégral

[76] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 19. Texte intégral

[77] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 19-20. Texte intégral

[78] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 27-35 et 100-114. Texte intégral parmi ces pages.

[79] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 103. Texte intégral.

« les deux camps étaient financés par les Rothschild : les Nordistes par leur agent August Belmont, les Sudistes par leurs parents, les Erlanger ».

[80] Pour le lecteur, à partir de maintenant F*, signifie Franc-Maçon

[81] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 32. Texte intégral. Ref. Curtis B. Dall pp109, 136, 139,140. A la suite de difficultés financières le fils de Mrs. Peck, avait besoin de 30 000 dollars. Elle aurait engagé les services d'un homme de loi de New York, Samuel Untermeyer qui au cours d'une entrevue à la Maison Blanche avec le Président Wilson, lui aurait demandé la somme de 250 000 dollars. Après marchandage, Wilson dû payer 100 000 dollars et nominer Louis Brandeis à la Cour Suprème.

[82] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, P 40. Texte intégral.

Ce qui n'est pas moins troublant ce sont les allusions de cette fin tragique de l'Archiduc Ferdinand par le Colonel House de « Master of Wisdom » quatre ans avant l'attentat dont on peu lire dans le livre de M. de Poncins sur la Franc-Maçonnerie.

[83] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 21. Texte intégral.

[84] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Page 21-25. Texte intégral.

[85] Dictionnaire Larousse 1963, assignat=Papier-monnaie émis en France en 1789, gagé sur la vente des biens nationaux et qui ne tarda pas à se déprécier complètement.

[86] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 24 et 115-124. Texte intégral parmi ces pages.

[87] BIENTOT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79 P 129. Texte intégral.

[88] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 129. Texte intégral.

[89] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 135. Texte intégral.

[90] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 149-150. Texte intégral.

Le 12 février 1919, au Congrès des U.S.A. (Commission d'enquête du Sénat sur le bolchevisme) le R. George A. Simon, méthodiste, fut invité à déposer et déposa sur le nombre des israélites participant au gouvernement soviétique dont la majeure partie était originaire de East-Side de New York

Wickam Stees, écrivain et périodiste anglais et membre de la maçonnerie anglaise, dans son ouvrage « Through Theatry years », non seulement raconte les tentatives faites pour faire admettre le gouvernement bolchevik aux Conférences de la Paix à Paris mais aussi l'entrevue qu'il eut avec le Colonel House, au cours de laquelle il lui dénonça Jacob Schiff, Warbourg et autres financiers internationaux comme étant les promoteurs de la Révolution de 1917 pour convertir la Russie en un terrain d'exploitation.

Rappelons enfin l'Encyclique « Divini Redemptoris » :

« Nous savons en effet que beaucoup d'entre eux (les peuples de la République Soviétique souffrent sous le joug inique d'hommes qui en grande partie, sont étrangers (alieni) au véritable intérêt de cette nation et que d'autres ont été trompés par de fausses promesses. Nous condamnons le système (rerum rationes), ses auteurs et ses complices qui considèrent cette nation comme le meilleur terrain sur lequel ils ont semé le germe d'une doctrine élaborée depuis longtemps pour, de là, la répandre par toute la terre »

[91] BIENTÔT UN GOUVERNEMENT MONDIAL? UNE SUPER ET CONTRE ÉGLISE par Pierre Virion, Éditions Saint-Michel, Saint-Cénéré, c.c.p., Rennes 2074-79, P 134. Texte intégral.

[92] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 277. Texte intégral.

[93] Une Main Cachée Dirige par Jacques Bordiot, copyright La Librairie Française, 1974-1976, Pages 243. Texte intégral. Cité par Curtis B. Dall – F.D.R. My Exploiter Father-in-Law, p 81, d'après une réimpression d'Economic Liberty, Oakland, Californie. M. Curtis B. Dall qui relate le fait, précise que cette incroyable affaire « Hopkins- Morgenthau-White » s'est faite avec l'accord au moins tacite des plus hautes personnalités de la Maison Blanche. On notera que MM. Henry Morgenthau Jr. Et Harry Dexter White appartenaient au C.F.R. (Council on Foreign Relation). Harry Dexter White fut convaincu en 1952, par une Commission sénatoriale, d'avoir été un agent soviétique.

[94] Document sur la BANK FOR INTERNATIONAL SETTLEMENTS (BIS), JUILLET 1997, http://www.bis.org/about/fatsh97.htm.